Liaisons dangereuses, Laclos, roman épistolaire, Vicomte de Valmont, marquise de Merteuil
Laclos auteur du XVIII appartient au mouvement des Lumières. Il a rédigé les liaisons dangereuses, roman épistolaire qui met en scène deux libertins qui s'amuse à manipuler et pervertir les jeunes gens naïf. Cécile Volange est une jeune fille qui sort du couvent, elle est une proie toute désigné pour le Vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil. Dans la première lettre de ce roman. Cécile s'adresse à une ancienne camarade du couvent pour lui raconter sa nouvelle vie.
[...] Cécile Volange est une jeune fille qui sort du couvent, elle est une proie toute désigné pour le Vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil. Dans la première lettre de ce roman. Cécile s'adresse à une ancienne camarade du couvent pour lui raconter sa nouvelle vie. Problématique : Comment se manifeste la niaiserie de Cécile ? Annonce du plan : Tout d'abord, nous verrons que Cécile est futile et pour finir nous montrerons que son style révèle sa puérilité. I Le caractère de Cécile. Cécile est superficielle. [...]
[...] Cécile est un personnage creux et ridicule. - Elle est fainéante puisque ligne 13 elle affirme qu'il ne tiendrait qu'à elle de rester sans rien faire. Elle ne s'occupe que pour tromper son ennuie. - Le lecteur se rend compte que sa vie est vide puisqu'elle rapporte l'expression si j'avais quelque chose à te dire (L.16). - Elle est niaise comme le prouve le quiproquo comique puisqu'elle confond son futur mari avec un cordonnier, elle ne connait donc pas les coutumes et le fonctionnement de la société. [...]
[...] - Elle adopte un style très oral comme le prouve l'emploie des onomatopées avec la répétition de oh (L.27) et des phrases exclamatives. - De même la rupture de phrase dans son récit (L.35) montre qu'elle ignore les bases de l'écriture épistolaire. - Elle donc un style très enfantin, la manière dont elle nomme l'homme qui se présente chez eux elle qu'elle croit être son mari notamment monsieur (L.22 à 28) prouve sa puérilité est son manque de lexique. La forme - Laclos reproduit le style d'une jeune fille naïve. [...]
[...] Les phrases sont courtes et il n'ya pas de transition entre les idées. Cécile saute souvent du coq à l'âne, l'impose dans sa lettre adieu jusqu'à un petit moment ne sert à rien, tout comme l'indication de l'heure. La manière de terminer sa lettre montre sa mièvrerie notamment avec la répétition du substantif adieu à deux reprises. - A la fin l'expression je t'aime comme si j'était encore au couvent »est un peu puérile et hypocrite. Le style reflète son manque d'éducation et son caractère Pour conclure Laclos montre que les femmes même celle appartenant à la haute société son cantonné à un rôle subalterne car les hommes prennent bien soin de ne pas trop les instruire, au XVIIIème siècle les femmes restent d'éternelle mineur toujours sont la tutelle de leur père ou de leur mari. [...]
[...] Cécile est donc un personnage peu sympathique qui ne pense qu'à elle. Cécile est ignorante. - Cécile est une jeune fille ignorante elle est laisser dans l'incertitude de son avenir, elle sait qu'elle est promise à un homme mais ignore tout de lui comme l'indique l'expression on ne m'a encore parlé de rien (L.16) ou encore l'emploie du verbe croire (L.16 et 24). Même sa femme de chambre en sait plus qu'elle puisqu'elle connaît le nom de l'homme qui arrive. [...]
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