Tristes Tropiques est constitué en neuf parties et quarante sous parties. Au début du livre, Lévi-Strauss fait son autobiographie et raconte son histoire, son commencement dans la philosophie, sa passion pour l'ethnologie et enfin sa grande découverte du Brésil. Par la suite, l'auteur décrit avec beaucoup de détails les lieux et les tribus de ce pays en montrant leur mode de vie et en les comparant à nos sociétés. A la fin du livre, Lévi-Strauss nous parle de son travail d'ethnologue avec les difficultés que cela engendre et aborde le thème des différentes religions que sont le christianisme, l'islam et le bouddhisme (...)
[...] Analyse critique Tristes Tropiques est un livre intéressant et réfléchie sur les civilisations. Cependant, il est difficile à lire étant donné que Lévi Strauss traite plusieurs sujets à la fois et mélange ses souvenirs d'Amérique et d'Asie et passe du présent au passé. On peut remarquer à travers les 4 tribus qu'à observé Lévi Strauss, qu'elles sont hiérarchisées comme les civilisations occidentales. Par contre, pour ces tribus les mythes et croyances sont très importants contrairement à nos sociétés. Le comportement des occidentaux détruisant toutes les autres civilisations et également l'environnement est désastreux. [...]
[...] Il ne doit pas seulement être pris comme un moyen de se divertir. Un demi siècle plus tard, on peut s'apercevoir que les occidentaux ne se sont pas tournés vers les autres, qu'ils ne sont pas curieux. La notion d'échange et de partage n'a pas eu lieu entre les différentes civilisations du monde. Les sociétés ne désirent pas s'acculturer, ce qui est regrettable car chacune d'elle aurait besoin d'évoluer et de s'épanouir. Conclusion A travers ce livre, on comprend que l'homme est capable du pire, et qu'il n'est pas seulement sociable et raisonnable. [...]
[...] Introduction Tristes Tropiques est constitué en neuf parties et quarante sous parties. Au début du livre, Lévi-Strauss fait son autobiographie et raconte son histoire, son commencement dans la philosophie, sa passion pour l'ethnologie et enfin sa grande découverte du Brésil. Par la suite, l'auteur décrit avec beaucoup de détails les lieux et les tribus de ce pays en montrant leur mode de vie et en les comparant à nos sociétés. A la fin du livre, Lévi-Strauss nous parle de son travail d'ethnologue avec les difficultés que cela engendre et aborde le thème des différentes religions que sont le christianisme, l'islam et le bouddhisme. [...]
[...] Chacun de nous devrait être plus tolérant et regarder plus loin, au risque sinon de perte de civilisations entières. En agissant de cette façon, chaque culture n'avance pas et aucune ne se sert de l'autre pour s'améliorer. [...]
[...] Pour lui, toutes les sociétés ont des bons et des mauvais côtés, et toutes ont des choses à apprendre et à changer. La grande déception de l'auteur est que l'Occident à détruit des nouvelles civilisations, des cultures naissantes au moment de la colonisation sans laisser le temps à la découverte et au partage des connaissances. Son grand regret est que dans les sociétés occidentales, les individus pensent avoir la supériorité et par conséquent ne pas avoir à apprendre d'autres civilisations vues comme moins développées. Ils ne sont pas tournés vers l'extérieur et voient qu'à travers leurs pratiques et habitudes. [...]
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