Primo Levi est né à Turin en 1919 : il est issu d'une famille juive. En 1942, après des études de chimie, il s'installe à Milan. Il est arrêté comme résistant en février 1944, puis déporté à Auschwitz, où il restera jusqu'en janvier 1945, date de la libération du camp par les soviétiques.
La guerre finie, il épouse Lucia Morpugo, dont il aura deux enfants (Lisa Lorenza et Renzo), et prend la direction d'une entreprise de produits chimiques (...)
[...] Il confia ainsi à Levi la charge d'aller chercher la soupe avec lui, ce qui dispensait Levi de son travail, pendant quelque temps, et lui permettait de s'économiser. Charles et Arthur : Ce sont deux prisonniers politiques lorrains avec qui Levi a passé les derniers dix jours au camp, entre le jour de l'évacuation du camp et le jour de l'arrivée des russes. C'est avec eux que Lévi a mis en place le système de survie qui permet à une partie de la chambrée de s'en sortir. Quels sont les principaux thèmes de cet ouvrage ? Justifier votre réponse en vous appuyant sur le texte. [...]
[...] Il est certain que des évènements ont pu influencer une partie de sa vie. Un beaucoup plus que tous les autres : l'horreur des camps à Auschwitz. Cette partie de sa vie l'a tellement influencé par la suite, qu'il s'en n'est jamais remis et s'est suicidé quarante ans plus tard au pied des escaliers de la maison familiale. L'écrivain américain Elie Wiesel affirma à l'époque que Primo Levi était mort à Auschwitz quarante ans plus tôt. D'autre part, les prénoms de ses enfants, à savoir Lisa Lorenza et Renzo, sont directement inspirés de Lorenzo, un civil qui travaillait au camp de travail à Auschwitz et qui était pour Primo Levi la preuve que la bonté humaine existait encore . [...]
[...] Primo Levi est né à Turin en 1919 : il est issu d'une famille juive. En 1942, après des études de chimie, il s'installe à Milan. Il est arrêté comme résistant en février 1944, puis déporté à Auschwitz, où il restera jusqu'en janvier 1945, date de la libération du camp par les soviétiques. La guerre finie, il épouse Lucia Morpugo, dont il aura deux enfants (Lisa Lorenza et Renzo), et prend la direction d'une entreprise de produits chimiques. Parallèlement, il commence à écrire. [...]
[...] De plus, il veut écrire et c'est à Auschwitz qu'il décide d'écrire. Quand il est au laboratoire, il dit : alors je prends mon crayon et mon cahier, et j'écris ce que je ne pourrais dire à personne. Ce travail sur soi par l'écriture vise à le libérer de ce que le camp fait de lui et lui permet de redevenir un humain libre. L'optimisme : Pour Primo, le camp de travail a un sens : ne jamais se dérouler de nouveau. [...]
[...] Si c'est un homme est un récit autobiographique. Primo Levi est arrêté le 13 décembre 1943 avec ses camarades de la Giustizia e Libertà, par la milice fasciste. Il est interné dans un camp de travail à Auschwitz où il échappe de justesse à la sélection qui conduisait à l'élimination pure et simple des inutiles Au fil de l'œuvre, il explique à partir de son quotidien dans le camp, la lutte et l'organisation pour la survie des prisonniers : hiérarchie au sein du camp, les combines, les trafics, les vols auxquels se livrent les prisonniers du camp, mais aussi et surtout la faim, le froid, la fatigue et la mort pour un grand nombre. [...]
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