Fiche de lecture sur l'oeuvre de Stefan Zweig : « Le joueur d'échecs ». Constituée de neuf parties (couverture du livre, l'auteur, les personnages, etc...), elle comporte des éléments intéressants tels que la lecture d'un passage, toujours pratique pour une présentation orale.
[...] L'auteur s'appelle Stefan Zweig. Le livre est une nouvelle écrite en 1941. II) L'auteur Stefan Zweig est né en 1881 à Vienne. Il vient d'une famille riche issue de la bourgeoisie juive. Il quitte l'Autriche en 1934 pour aller vivre à Londres, il est militant pacifiste et pendant la seconde guerre mondiale il quitte l'Angleterre pour s'installer au Brésil en 1941. Mais déçus par la victoire du fascisme en Europe et par l'échec de son idéale de paix il se suicide avec sa femme en 1942. [...]
[...] Le jour de la partie contre Czentovic, il le bat facilement, sans avoir jamais joué contre un réel adversaire. Lors de la revanche, la lenteur délibérée du paysan l'exaspère, et il redevient fou comme lors de sa captivité. Heureusement, le narrateur parvient à le ramener à la raison, et la nouvelle se finit sur la reprise de conscience de M.B. Les thèmes L'isolement Le thème de l'isolement revient très souvent dans le livre. Tout d'abord, on remarque que l'action se déroule sur un bateau, en plein océan et totalement à l'écart du monde, là où l'influence de l'homme est minimale. [...]
[...] En plus de la raconter, le narrateur intervient directement dans l'histoire lorsqu'il parle à son ami au départ, ou bien qu'il empêche M. B de redevenir fou. C'est un joueur d'échec amateur, qui est passionné par la psychologie. MacConnor: Ce milliardaire écossais permet aux deux champions d'échec de jouer l'un contre l'autre. C'est un homme impulsif, susceptible et très mauvais perdant. Il devient parfois incontrôlable. IV) Résumé L'histoire se déroule aux alentours des années 1940 sur un bateau qui se dirige vers Buenos-Aires. Le narrateur apprend d'un ami qu'un homme du nom de Mirko Czentovic a embarqué en même temps que lui. [...]
[...] Page 34 IX) Avis personnel J'ai bien aimé le livre. Le style d'écriture de Stéfan Zweig est agréable à lire et ne pose aucune difficulté. Quelques fois on est un peu ennuyé par la lenteur des joueurs d'échec. L'histoire de M.B est extrêmement réaliste et on imagine facilement comment il a pu souffrir lors de son isolement. Enfin, je trouve le choix d'en faire une nouvelle très bien appropriée, car l'intensité de l'histoire n'aurait pas été aussi bien retranscrite si elle avait été plus longue sous forme de roman. [...]
[...] Le joueur est également d'une vulgarité et d'une vanité incomparable. Il accumule les impolitesses. Enfin, Czentovic est un être totalement dépourvu d'imagination. Il est incapable de faire une partie abstraite, c'est à dire sans échiquier. Cette technique pourtant maîtrisée par tous les bons joueurs ne concerne pas Czentovic car sa vision du jeu se limite à son échiquier. M. B.: on ne connait pas son vrai nom, seulement ses initiales. C'est un homme qui était avocat avant la guerre et qui a été fait prisonnier par les nazis qui l'on isoler dans une pièce pendant quelques années et il n'avait aucune occupation sauf un livre d'échec qu'il a réussi à volé à un soldat allemand et il va jouer au échec tout le temps qu'il sera prisonnier pour ne pas mourir d'ennui ou pour éviter le suicide. [...]
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