Résumé par partie du roman d'Albert Camus, La Peste.
[...] À Noël, Grand tombe malade et Rieux le croit condamné. Mais contre toute attente, il guérit sous l'effet d'un nouveau sérum. Plusieurs autres cas de guérison inespérée surviennent dans les mêmes conditions. Puis, des rats réapparaissent à nouveau, vivants. Les statistiques montrent alors un net recul de la maladie. Cinquième partie Le mois de janvier confirme la régression du fléau, au grand dam de Cottard qui se sait recherché par la police, sans pour autant que la quarantaine prenne fin. [...]
[...] Jean Tarrou, un voisin logeant à l'hôtel, fils d'un procureur et de passage à Oran, rédige une chronique de l'épidémie dans des carnets et se met à la disposition de Rieux pour organiser le service sanitaire, la peste devenant l'affaire de tous Ils sont rejoints par Grand, qui assume l'indispensable travail d'enregistrement et de statistiques Enfin, Cottard est le seul à éprouver une satisfaction malsaine dans le malheur de ses concitoyens, profitant même du marché noir pour s'enrichir (en fait, sa tentative de pendaison était un stratagème pour rester dans la ville en quarantaine et lui permettre d'échapper, temporairement, à une enquête de police et à une condamnation). Il fait connaître à Rambert une filière clandestine pour quitter la ville. Gardant l'espoir d'une évasion prochaine, ce dernier décide en attendant de rejoindre Rieux et Tarrou dans leur lutte sanitaire contre l'épidémie. Troisième partie C'est la pleine période estivale. L'épidémie ne recule pas, les scènes de pillage et de violence traduisent l'accroissement de la tension parmi la population, amenant les autorités à décréter un couvre-feu. [...]
[...] Résumé de La Peste, Albert Camus Première partie L'histoire se déroule en Algérie, à Oran, dans les années 1940. Un jour d'avril, le docteur Rieux découvre un rat mort sur son palier. Monsieur Michel, le concierge, pense à une farce de quelque mauvais plaisant. Le lendemain, le docteur Rieux accompagne son épouse, malade depuis un an, à la gare pour qu'elle se rende dans une station de montagne au climat plus propice pour se faire soigner. Peu après, une agence de presse annonce que plus de six mille rats ont été ramassés le jour même. [...]
[...] La fiancée de Rambert arrive par la gare, mais lui, tout comme les Oranais, bien que savourant la liberté retrouvée, n'oublie pas cette épreuve qui les a confrontés à l'absurdité de leur existence et à la précarité de la condition humaine. Cottard est arrêté pendant une crise de démence alors qu'il tire sur les forces de l'ordre. Grand a repris son travail routinier. La fin de la chronique apprend au lecteur que le rédacteur n'en est autre que Rieux lui-même. Ayant combattu la peste pendant presqu'un an, il a voulu relater les événements avec la plus grande objectivité possible, persuadé que la peste peut revenir un jour et appelant à la vigilance. [...]
[...] De plus, le praticien, tout comme ses aides, sont exténués et attendent toujours des signes de rémission de l'épidémie. Quant enfin Rambert a l'opportunité de s'évader pour rejoindre sa fiancée à Paris, les remords d'abandonner la lutte contre la peste, Rieux et Tarrou, l'y font renoncer. C'est maintenant l'automne. Grâce au sérum mis au point par le vieux docteur Castel, Rieux espère endiguer le fléau. Mais lorsque le fils du juge Othon agonise, la tentative échoue et les souffrances qu'éprouve l'enfant ébranlent Rieux et troublent les certitudes de l'abbé Paneloux. [...]
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