Adolf Hitler était un adolescent dont le rêve était de devenir peintre. Cet enfant orphelin fut choqué au moment où le jury de l'École des beaux-arts de Vienne décida de le refuser. Du coup, il se retrouva privé de sa pension d'étudiant-orphelin et n'eut plus les moyens de payer le loyer à sa logeuse Madame Zakreys.
[...] En endossant le statut de propagandiste dans l'armée et de tribun politique, Hitler est devenu le chef du parti national-socialiste en 1921. Deux ans après, Hitler obligea les membres du gouvernement bavarois ? Kahr, Lossow et Seisser ? d'être complices de son putsch et de le nommer chancelier d'Allemagne. Cependant, le trio gouvernemental prohiba le putsch, et Hitler fut condamné à cinq ans de réclusion. Pendant son séjour en prison, il eut l'occasion de réfléchir à son plan politique. Sans aucune explication, il se retrouva en liberté après un an passé en cachot. À la sortie de la maison de détention, il eut une relation amoureuse avec Mimi, mais il refusa toute confrontation sexuelle avec elle et il décida alors de la quitter pour emménager avec sa nièce Geli Raubal. Ainsi, il vivait avec une fille au su de tous, l'entretenait financièrement, mais ne subissait pas l'angoisse de devoir mener une vie sexuelle. Pourtant, Hitler refusait obstinément qu'elle rencontrât d'autres garçons de son âge. Un jour, il lui dit qu'elle allait devoir se marier avec lui, et elle se suicida. C'est pourquoi Hitler abandonna la politique pour quelque temps. Toutefois, il gagna les élections lors de son retour dans le milieu et devint chancelier de l'Allemagne (...)
[...] P.323 il tenait un scoop = Information importante ou sensationnelle donné en exclusivité par une agence de presse ou par un journaliste. P.337 mouvement sioniste = Mouvement dont l'objet fut la constitution d'un État juif en Palestine. P.353 l'éphèbe = Jeune homme d'une grande beauté. P.360 il soliloquait = Se parler à soi-même. P.372 un matamore = Personne qui n'est courageuse qu'en paroles ; faux brave. P.396 altruisme = Tendance à s'intéresser aux autres, à se montrer généreux et désintéressé. P.407 goy = Terme par lequel les juifs désignent les non-juifs. [...]
[...] Pourtant, je trouve que ce titre reflète parfaitement le contenu du livre. En effet, dans l'histoire inventée par l'écrivain, Adolf Hitler a été nommé Adolf tandis que le grand dictateur était appelé par tous Hitler De plus, je trouve que ce titre aurait attiré beaucoup de lecteurs car ils se seraient interrogés sur le et ; ce qui leur aurait donné envie de découvrir la signification de l'intitulé Passage qui me touche PP à 458: Il se sentait gelé : toute sa vie, il avait parlé de son suicide ; ces derniers mois, il en avait même parlé plus que jamais ; mais cela avait toujours été dit un ton gai, comme un élan de virilité, une saillie, une affirmation de soi, un signe de bonne santé ; pour la première fois, en ce jour, il le pensait vraiment et savait qu'il allait le faire. [...]
[...] Même si auparavant il ne supportait les gens ayant des idées antisémites, il en était devenu un. Une fois au poste de chancelier d'Allemagne, plus rien ne l'intéressait sauf le bien de son pays À la fin, son ambition se ressent fortement. Il s'est mis en tête qu'il allait sauver l'Allemagne et il voulait aller jusqu'au bout de sa mission : Je me battrai jusqu'au bout. PERSONNAGE SECONDAIRE : Madame Hörl, surnommée Wetti Madame Hörl était une femme d'âge moyen qui sous-louait une chambre à Hitler. [...]
[...] Deux jours après, Hitler tua ses enfants et le couple se suicida. La guerre prit fin quelque temps après sa mort. IMAGINAIRE Dans sa jeunesse, Adolf Hitler fut admis à l'Académie des Beaux-arts de Vienne. Il adorait cette école, toutefois il avait un grand problème au cours de nu : il ne pouvait s'empêcher de s'évanouir. C'est pourquoi il s'entraîna chez lui en dessinant les femmes nues, mais cela n'eut pas l'effet escompté. Il fit alors appel à son médecin Monsieur Bloch qui lui présenta un psychanalyste Monsieur Freud. [...]
[...] Ils passaient leur temps libre dans le café La Rotonde où Adolf fit connaissance d'une fille qui s'appelait Onze-heures-trente Adolf découvrit que le prénom de cette femme, également artiste, correspondait à l'heure à laquelle elle se levait tous les jours. Ils commencèrent à vivre ensemble. Onze-heures- trente dessinait ses tableaux dans le style de cubisme et les vendait très bien, alors qu'Adolf peinait à trouver acquéreur pour ses toiles à cause de son incapable marchand Slawomir. Tout changea le jour où un certain André Breton, le chef du mouvement surréaliste, vint se présenter chez Adolf et lui proposa une collaboration avec sa galerie. [...]
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