Né le 4 février 1688 à Paris, Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux est un auteur dramatique, journaliste et romancier français. En 1710, alors que Marivaux ambitionne de devenir avocat comme son père et entre en Faculté de droit à Paris, il commence à fréquenter les salons mondains. Il écrit son premier texte en 1712 et s'essaie à différents genres (parodique, chroniques journalistiques, burlesque...) (...)
[...] Elle n'aurait pas du écouter Carise et Mesrou et laisser partir Azor. Scène 9 Eglé fait alors la rencontre d'une autre personne qui a l'air tout aussi étonnée : Adine. Eglé et Adine font alors connaissance. Toutes deux sont étonnées par le fait que ni l'une ni l'autre ne soit charmée par leurs beautés respectives. Se dénigrant réciproquement, les deux jeunes femmes justifient l'effet de leurs charmes en citant Azor pour Eglé et Mesrin pour Adine. N'arrivant à un accord et restant toutes deux dans leurs positions, elles se quittent fâcher et décident de s'ignorer. [...]
[...] Malgré le fait qu'ils ne soient physiquement pas charmés l'un part l'autre, les deux jeunes gens s'entendent tout de suite à merveille. De ce fait, ils décident à partir de ce jour de prendre leurs repas ensemble. Les deux hommes annoncent alors qu'ils raconteront leur heureuse rencontre à leurs aimées. Scène 14 Eglé se joint alors à la conversation entre les deux hommes. Azor présente alors sa bien aimée à Mesrin. Ce dernier, sous le charme, décide de baiser la main d'Eglé ce qui contrarie Azor. [...]
[...] Adine : Adine est une jeune femme au caractère bien trempé et qui n'a pas froid aux yeux. Séduire ne lui fait pas peur et elle est consciente de ses atouts auprès des hommes. Carise et Mesrou : Carise et Mesrou, les tuteurs des enfants isolés dans la forêt, ont été chargés de s'occuper d'eux depuis leur plus tendre enfance. Lorsque l'expérience touche à son terme et qu'on laisse les enfants libres de sortir de leur enceinte, les deux tuteurs veillent à ce que tout ce passe bien pour eux et leur prodiguent des conseils avisés. [...]
[...] Carise fait de même avec Eglé et lui conseille de partir au plus vite. Eglé et Mesrin déclarent alors s'aimer d'autant plus que la jeune femme découvre que Mesrin n'est autre que l'aimé d'Adine. Scène 17 Eglé annonce alors à Azor qu'elle ne se soucie plus de lui/ Contre toute attente, Azor ne semble pas malheureux, bien au contraire. Scène 18 Eglé rappelle alors Azor, vexée de ne plus être aimée par le jeune homme. Scène 19 Les quatre jeunes gens se rencontrent alors. [...]
[...] Or, pour Eglé et Azor, il n'en est rien et tous deux pensent que même en restant ensemble tout au long de la journée, ils ne seront jamais rassasiés de leur amour l'un pour l'autre. Carise confie alors à Eglé un miroir. Scène 7 Examinant le miroir avec attention, Eglé et Azor sont en admiration devant l'objet et surtout devant leurs reflets respectifs. Le conseil donné par Carise et Mesrou effraie quelque peu les deux jeunes. Bien qu'ils aient peur qu'avec la distance, ils puissent s'ennuyer de l'absence de l'autre, Eglé conseille à Azor de s'en aller. Scène 8 Eglé est alors seule et regrette alors son choix. [...]
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