Le livre que nous allons étudier est caractéristique du genre de l'essai. En effet, il s'agit de l'abolition de Robert Badinter. C'est-à dire un ouvrage dans lequel l'auteur traite d'un sujet : la peine de mort. On constate l'expression de subjectivité de l'auteur. Cet essai est destiné à produire des effets et en proposer la discussion autour d'idées. Cette oeuvre aborde plusieurs points de vue et s'interroge sur un problème existentiel : le droit de vivre et de mourir. Ce roman est issu de la collection le livre de poche et de l'édition Fayard. Ce livre fut écrit en 2000 (...)
[...] Bocquillon robert : homme politique et avocat. Il est courageux car il se commet d'office lui-même la défense de Patrick Henry. Il a aussi un mental fort car il ne se laisse pas submerger par les insultes provoquées par cette affaire. Il a soixante ans, c'est un avocat reconnu et estimé auprès de tous. Bontems Roger: âgé de 36 ans au moment des faits. Il est le complice de Claude buffet dans l'homicide d'un gardien et d'une infirmière de prison. [...]
[...] L'abolition, Robert Badinter I. Présentation du livre Le livre que nous allons étudier est caractéristique du genre de l'essai. En effet, il s'agit de l'abolition de Robert Badinter. C'est-à dire un ouvrage dans lequel l'auteur traite d'un sujet : la peine de mort. On constate l'expression de subjectivité de l'auteur. Cet essai est destiné à produire des effets et en proposer la discussion autour d'idées. Cette œuvre aborde plusieurs points de vue et s'interroge sur un problème existentiel : le droit de vivre et de mourir. [...]
[...] Cependant, il est humain car il a des remords envers son acte incompréhensible. Mitterrand François: président de la France, il est un partisan de l'abolition. il donne l'impression d'être un homme bon, confiant et gentil lorsqu'il annonce à Badinter qu'il est garde des sceaux. Il est optimiste et déterminé. Rannuci Christian: il s'agit d'un jeune homme âgé de vingt ans au cours des faits. Représentant de commerce, Christian est un homme faible car il a avoué un crime qu'il n'aurait soi-disant pas commis. [...]
[...] Il est l'époux d'Elisabeth Badinter. En 2000, lors de la rédaction de son ouvre, R. Badinter exerce la fonction de sénateur du coté des socialistes sous la présidence de Jacques Chirac. Nous pouvons supposer que l'auteur a eu l'idée de la rédaction de son œuvre quelques années après son combat. Exactement 20 ans après, de manière à laisser une trace et montrer son combat qui ne fut facile. Ainsi qu'a rendre hommages à François Mitterrand et tous les partisans de l'abolition et ceux qui ont essayé avant lui. [...]
[...] On l'exécute et l'histoire est finie. D'un point de vue religieux, nous pouvons ajouter que le condamné à mort fait face à une justice divine qui se chargera de son sort. Ainsi la justice sera faite d'une manière. D'autre part, sinon nous prenons le principe de la loi du talion issue du code d'Hammourabi et inscrite dans la bible œil pou œil, dents pour dents Chaque criminel doit payer l'équivalent de son acte. Ainsi la peine capitale serait justifiée si on exerce ce principe qui repose sur la veangeance. [...]
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