Scène 5
L'Electeur explicite le plan de bataille. Le Prince est distrait pendant que l'Electeur donne ses ordres : Il n'entend pas les injonctions de patience et de prudence. Il s'aperçoit que le gant qu'il a toujours en sa possession appartient à la princesse Nathalie : son trouble est visible et sa distraction augmente. L'Electeur lui rappelle que son étourderie a récemment fait manquer deux victoires (...)
[...] Scène 2 L'Electeur s'interroge sur la raison de cet incident, et envoie un serviteur s'informer sur ce qu'il se passe, puis s'habille. Scène 3 Le Feldmaréchal lui apprend que les troupe sont venus sans ordres, et veulent remettre une supplique à l'Electeur : les officiers réclament la libération du Prince de Hombourg. Il lui conseille de libérer le Prince avant que ce ne soit fait par la force. L'Electeur veut tout d'abord consulter le Prince : il a des scrupules à ce qu'une décision arbitraire soit prise. [...]
[...] Scène 2 Le prince reste seul devant la porte, pensif. Scène 3 L'Electeur interdit que l'événement soit rapporté au Prince Scène 4 Hohenzollern réveille le Prince et lui explique que le temps presse et que la cavalerie est déjà en route Le Prince trouve un gant qu'il a gardé à la main et s'interroge sur sa provenance. Il raconte avoir rêvé d'un château royal et d'une jeune femme lui tendant une couronne qu'il ne pouvait attraper. Durant toute cette scène le Prince reste très distrait et semble perdu. [...]
[...] Scène 3 Dans l'appartement de l'Electrice L' Electrice envoie Natalie à l'Electeur pour tenter de sauver le Prince Scène 4 Alors qu'elles sortent, on leur annonce Le Prince de Hombourg. Elles décident de le faire entrer. Scène 5 Scène pathétique durant laquelle le Prince, oubliant sa dignité, les implore à genoux de le sauver. Il met en avant sa peur de mourir, qui s'est déclarer encore plus forte lorsqu'il a vu en chemin creuser sa tombe : il se montre prêt à tout pour vivre. Il accepte même de renoncer à Natalie, lui rendant sa liberté. L'Electrice, qu'il nomme mère lui annonce qu'elle n'a pas réussit à fléchir l'Electeur. [...]
[...] Pour Kottwitz la règle suprême est celle qui permet de vaincre l'ennemi : c'est cette loi qui règne dans le cœur des généraux. L'Electeur ébranlé par ce discours, envoie chercher le Prince pour défendre son point de vue : la discipline. Hohenzollern intervient pour prouver que l'Electeur lui-même est coupable du comportement du Prince. Pour lui, c'est à cause de l'épisode du faux couronnement et du gant que le Prince n'a pas entendu les consignes données lors du plan de bataille. Scène 6 Le Prince est en chemin, il s'est arrêté au cimetière pour voir a voulu voir son tombeau. [...]
[...] Elle lui apprend aussi que le Prince implore sa grâce. L'Electeur décide de le libérer s'il juge qu'il est injustement condamné. Il confit une lettre à Natalie pour le Prince. Scène 2 Dans l'appartement de la Princesse Le Comte Reuss présente à Natalie une supplique du colonel Kottwitz signée par trente officiers, à l'adresse de l'Electeur en faveur de la libération du Prince. Natalie annonce que le Prince vient d'être gracié mais que cette pétition peut tout de même avoir du poids dans la décision de l'Electeur, et demande qu'elle soit signée par d'autres officiers. [...]
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