Charlie est un simple d'esprit de trente-deux ans, il ne sait pas très bien écrire et n'a pas vu sa famille depuis plus de quinze ans. Il souhaite devenir plus intelligent.
Ayant déjà testé un traitement révolutionnaire permettant de multiplier l'intelligence sur Algernon, une souris de laboratoire, le Pr Nemur et le Dr Strauss souhaitent pratiquer cette expérience chez l'être humain (...)
[...] Il se sent oppressé par l'ancien Charlie. Il est arrogant face aux personnes cultivées qu'il trouve désormais peu intelligentes. Il a aussi le besoin de faire comprendre aux deux spécialistes que même avant l'opération il était quelqu'un et qu'il n'est pas le fruit de leur création. Les autres personnages permettent au héros de se rendre compte de son arrogance et de son sentiment de supériorité. Le style : Dans ce journal intime, qui au départ était un cahier médical, le lecteur se rend compte de l'évolution fulgurante de Charlie, autant par l'écriture que par les propos qu'il contient. [...]
[...] Puis, choqué par les propos des deux scientifiques, Charlie ouvre la cage d'Algernon. Pendant que tout le monde la cherche, celui-ci rentre à New York avec la souris blanche. En lisant le journal, il voit un article sur sa famille et décide de rencontrer son père qui a ouvert un salon de coiffure dans le Bronx. Mais il manque l'occasion de lui dire qu'il est son fils. Il prend un appartement et rencontre Fay, sa voisine. C'est une femme étrange et extravertie qui se fiche de tout et ne pense qu'à danser et boire. [...]
[...] Elle a les cheveux châtains, elle est mince, jolie. Elle était jalouse de l'attention que ses parents portaient à Charlie. Oncle HERMAN Herman est l'oncle de Charlie. Il a trouvé le travail à la boulangerie pour Charlie car c'est le meilleur ami de Mr DONNER. Il était boulanger, obèse, avec une grosse moustache, il est décédé. PREMIERE PHASE : 3 mars. DERNIERE PHRASE : Si par hazar vous pouvez mettre quelques fleurs si vous plait sur la tombe d'Algernon dans la cour. [...]
[...] Charlie aide les scientifiques pour comprendre le comportement de la souris de laboratoire. Le jeune homme découvre le problème de régression d'intelligence d'Algernon. En fait, cette régression est proportionnelle au temps d'apprentissage de celle-ci. La souris meurt et Charlie l'enterre dans le jardin. Puis il va voir sa mère. Celle-ci est devenue folle et perd la mémoire. Il rencontre Norma et ont une longue discussion mais il ne lui dit pas que son intelligence va s'atténuer et qu'il va redevenir le même qu'avant l'opération. [...]
[...] Maintenant, je n'en ai pas un. - Plus tu seras intelligent, plus tu auras de problèmes, Charlie. - Je suis un être humain, une personne, avec des parents et des souvenirs et une existence - et je l'étais avant que vous me poussiez sur un chariot dans la salle d'opération ! - L'intelligence sans la capacité de donner et de recevoir une affection mène à l'écroulement mental et moral, à la névrose, et peut- être même à la psychose. - Et je dis que l'esprit qui n'a d'autre fin qu'un intérêt et une absorption égoïste en lui-même, à l'exclusion de toute relation humaine, ne peut aboutir qu'à la violence et à la douleur. [...]
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