Résumé critique du livre de John Steinbeck intitulé "Des souris et des hommes". Document de deux pages au format Word.Le racisme, la violence ainsi que l'amitié, prennent une place importante dans la vie de chaque être humain. Chacun de nous, un jour devra faire face à ces trois composantes indissociables de la vie en société.
L'amitié, la violence et le racisme sont des thèmes très dominants du roman "Des souris et des hommes" de John Steinbeck. Les personnages principaux, Lennie et George, doivent fuir Weed puisque Lennie avait de très gros ennuis. Ils se trouveront un emploi dans un ranch et ils devront faire face à de la violence avec Curley, un petit vantard prétentieux, et a du racisme avec Crooks qui est noir. Mais leur amitié en ...
[...] L'amitié, la violence et le racisme sont des thèmes très dominants du roman souris et des hommes' de John Steinbeck. Les personnages principaux, Lennie et George, doivent fuir Weed puisque Lennie avait de très gros ennuis. Ils se trouveront un emploi dans un ranch et ils devront faire face à de la violence avec Curley, un petit vantard prétentieux, et a du racisme avec Crooks qui est noir. Mais leur amitié en souffrira-t-elle? Es-ce que George et Lennie seront à l'abri de la violence au ranch ? [...]
[...] Lennie a pu s'en apercevoir au ranch et même à Weed. Pour continuer, le racisme est un peu comme la violence. Aucune personne ne peut être à l'abri du racisme. Tous ceux du ranch ont leur propre façon de faire du racisme envers Crooks, mais Lennie, lui, ne se préoccupe pas de la couleur de Crooks. Il ne le voit pas comme une personne différente malgré sa couleur de peau. Sans bruit, Lennie apparut sur le seuil de la porte ouverte, et resta là, debout, à regarder Malgré le fait que Lennie n'avais pas le droit d'aller dans la chambre de Crooks, cela ne le dérangeait pas puisqu'il ne comprenait pas pourquoi cela. [...]
[...] Lennie, dans le roman souris et des hommes‘ est victime des 2 formes de violence par Curley. Celui-ci insulte Lennie et lui crie des bêtises : Amène- toi ici, gros enfant de putain. Mets-toi debout. Il sera pas dit qu'un gros enfant de putain comme toi aura rigolé de moi, J't'apprendrai, moi, qui c'est qui a peur. Curley ira même frapper Lennie : Curley s'était mis en position. Il décocha à Lennie un coup de son poing gauche, puis lui écrasa le nez avec le droit. [...]
[...] L'auteur John Steinbeck a très bien réussi à me faire réaliser plusieurs choses mais les plus importantes sont d'après moi que durant une vie il n'y a pas juste des beaux moments, il peut aussi bien y avoir des embûches mais avec l'aide de bons amis celles-ci ont beaucoup moins d'impact et qu'une vraie amitié est nécessaire dans ce monde. Tout le monde devrait pouvoir compter sur quelqu'un dans sa vie en cas de besoin. John Steinbeck, Des souris et des hommes, France, Édition Gallimard p.110 Ibid. p110 Ibid. p119 Ibid. p.40 Ibid. p.40 Ibid. [...]
[...] Qu'il attire les ennuis : . Comment foutre voulais-tu qu'elle sache que tu voulais rien que lui toucher sa robe ? Elle gueule, et puis il faut que nous restions cachés toute la journée dans un fossé d'irrigation avec un tas de types à nos trousses. ou bien qu'il tue la femme de Curley : - Ne gueulez donc pas comme ça, dit-il en la secouant, et le corps s'affaissa comme un poisson. Puis elle ne bougea plus, car Lennie lui avait brisé les vertèbres du cou. [...]
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