Jean-Paul Sartre est un écrivain français du XXème siècle. Il est né le 21 juin 1905. Cet écrivain est l'auteur de nombreux ouvrages, notamment L'être et le Néant publié en 1943, qui fait parti de son œuvre principal en philosophie.
Jean-Paul Sartre est fils unique. Son père est mort alors qu'il était encore très jeune. Il va intégrer l'école normale supérieure. Puis en préparant, pour la seconde fois, le concours d'agrégation, il rencontre Simone de Beauvoir. Il est alors reçu premier au concours d'agrégation en 1929. Il est nommé professeur de philosophie au lycée du Havre, puis à Neuilly en 1937.
Pendant la guerre, il est engagé comme soldat météorologiste. Pendant la guerre, il va rédiger son premier essai, qui va devenir son œuvre philosophique majeure, L'Être et le Néant. Puis vers la fin de la guerre, Sartre est recruté par Camus, il devient reporter dans un journal nommé Combat, où il va d'ailleurs décrire la libération de Paris. La guerre va avoir un avantage pour Sartre. Il va se transformer en militant engagé.
Sartre va se lancer dans la politique. Il va fonder avec des amis un nouveau parti politique, le Rassemblement démocratique révolutionnaire. Cependant il ne deviendra jamais un véritable parti, et l'écrivain donnera sa démission en 1949.
En 1964, on attribue le prix Nobel de la littérature à Jean-Paul Sartre. Cependant celui-ci refuse son prix, car selon lui « aucun homme ne mérite d'être consacré de son vivant ». Il avait aussi refusé en 1945 la légion d'honneur. D'après Sartre, les honneurs auraient aliéné sa liberté, car ils auraient fait de l'écrivain une institution.
Jean-Paul Sartre décède le 15 avril 1980, à l'âge de 74 ans. Il est enterré au cimetière Montparnasse à paris. Simone de Beauvoir décède à son tour le 14 avril 1986, elle sera inhumée à ses côtés.
Il va connaître la gloire avec un livre publié en 1938, La Nausée. Il est l'auteur de nombreuses œuvres comme Huis clos, publié en 1944, ou encore Les chemins de la liberté. Parmi ces œuvres, Jean-Paul Sartre est l'auteur de Les mots, publié en 1964.
[...] Puis lassé, il va se mettre à la prose. Par la suite, il rédige des histoires en plagiant des romans illustrés. Son grand-père n'accepte pas sa nouvelle passion. Pourtant sa mère va l'encourager à poursuivre ses activités. Son grand-père veut en faire un professeur de lettre, car s'il lui interdisait d'écrire, ce serait l'encourager dans cette voie. Il préfère lui autoriser le professorat de peur qu'il ne veuille réellement de venir écrivain. Cependant, c'est pour essayer de plaire à Karl que Sartre continue à écrire. [...]
[...] Pourtant en la retrouvant, il se rend compte qu'il a écrit exactement la même chose. Mais il va garder celle réécrite, car pour lui il a progressé. III/ Appréciation personnelle Les mots est un roman autobiographique. Il se lit très facilement car le vocabulaire employé est plutôt simple. Pourtant, on sait pertinemment que c'est un adulte qui raconte ses souvenirs. A travers, ses souvenirs, Sartre interprète son enfance. Il donne sa vision des choses et ses commentaires. On aurait pu croire que l'auteur allait rédiger son œuvre vue par un enfant. [...]
[...] Pourtant, Jean-Paul Sartre s'imagine écrivain attendu par les foules. Selon lui, il est écrivain de naissance comme Charles est un grand-père de naissance et pour toujours. Il aime croire que c'est Dieu qui l'a choisi pour écrire même s'il n'a pas de talent. Puis il se voit à l'avenir quand il sortira ses premiers romans. Il pense à la gloire, mais bien souvent elle arrive souvent après la mort de l'écrivain. Ses pensées vont alors se diriger vers la mort. [...]
[...] Dans la première partie intitulée Lire, Jean-Paul Sartre raconte son enfance. Son père est décédé alors qu'il était encore très jeune. Sa mère est alors allée vivre avec son fils chez sa famille. Ainsi il va être élevé par sa mère et ses grands- parents maternels. Son grand-père va lui donner la passion des livres. En effet, son grand-père, Charles Schweitzer est professeur d'allemand. Il possède une énorme bibliothèque. Or Sartre ne sait pas lire, il va commencer par faire semblant de lire les ouvrages pour faire comme son grand-père, qu'il surnomme Karl. [...]
[...] Sartre fait face à la partie de sa vie qu'il a le moins aimée. Mais il est évident que si son enfance avait été différente, il n'aurait pas été l'homme qu'il est devenu. Il doit sa passion pour les livres à son grand-père. Son don pour l'écriture, on constate qu'il le doit à son enfance. Pourtant c'est le passage de sa vie qu'il n'apprécie pas. Pourquoi, sans doute parce qu'il n'était pas apprécié des autres enfants? Il est vrai qu'il n'a pas eu une enfance quelconque. [...]
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