Description du Wild (p.5) parcouru par un attelage de six chiens (p.6) et des hommes transportant un cadavre, celui de Lord Alfred (nommé p.41).
Un cri, des hurlements se font entendre (p.8).
Un septième animal mystérieux mange avec les chiens (p.10). Peu après, le chien Boule-de-Suif est parti (p.15).
Le jour est bref, les hurlements reprennent (p.16).
Le chien Grenouille est parti ; Bill attache les autres chiens à des pieux (p.21).
Les hommes font des hypothèses sur l'animal qui attire les chiens (p.22).
Le chien Gros-Gaillard, pourtant attaché, est parti (p.23).
Une louve rouge se montre sans crainte par rapport aux hommes (p.27).
Bill est très pessimiste sur leur sort.
Le traîneau se renverse ; pendant que les deux hommes tentent de le redresser, le chien N'a-qu'une-Oreille en profite pour fuir avec la louve (p.30).
Bill, parti à l'affût, épuise ses dernières cartouches.
Sans avoir assisté à la scène, Henry comprend qu'il ne reverra pas son compagnon (p.33).
Les loups se rapprochent sans cesse.
Henry dresse un échafaudage pour mettre le cercueil qu'il transporte en sécurité. Il lutte contre le sommeil, mais sait qu'il est la future proie de la louve.
Au jour, les loups ne s'éloignent plus. Les deux derniers chiens ont disparu.
Henry se défend en se tenant dans un cercle de feu (p.39), mais épuisé, il s'endort.
Il se réveille soudain et perçoit un changement : ce sont des attelages qui arrivent, à la recherche de Lord Alfred.
La louve est entourée de loups leaders et rivaux (p.43).
La horde parcourt une longue distance et trouve enfin des élans pour se nourrir (p.45).
Rassasiée, la horde se divise ; la louve suivie de trois de ses amoureux va vers le Lac Mackenzie (p.46).
Les loups s'entretuent par rivalité pour la louve rouge (p.47).
Il ne reste plus que le vieux loup expérimenté Un-Oeil ; la femelle est satisfaite.
Ils approchent prudemment d'un camp d'Indiens (p.50).
La louve est attirée par les chiens ; mais, elle et le loup gris s'éloignent et se nourrissent d'un lièvre pris dans un collet (...)
[...] Scott s'absente ; Croc-Blanc tombe malade. Une nuit, Beauty-Smith revient pour s'emparer du loup ; celui-ci le lacère (p.221). XXI-Croc-Blanc pressent que son maître va repartir. Il casse les vitres de la maison où on l'a enfermé et se glisse sur le bateau qui va emmener son maître vers la Californie. Scott s'avoue vaincu. Ils débarquent à San Francisco ; Croc-Blanc est ébahi par ce qu'il voit. Il est ensuite emmené dans une belle propriété à la campagne. Là, un gros chien berger monte la garde , mais Croc-Blanc ne l'attaque pas : c'est une femelle et les lois de sa race interdisent qu'on les agresse. [...]
[...] Croc-Blanc s'enfuit, retrouve la caverne où il est né. Kiche, une nouvelle fois, y met bas (p.158). Par hasard, Croc-Blanc se trouve nez à nez avec son persécuteur Lip-Lip ; il le tue. Des mois après, il retourne au camp. Devenu chef de d'attelage, Croc-Blanc attaché devant les autres chiens, est haï par eux (p.161). Il a cinq ans ; dans sa pleine puissance, il se livre sur les chiens à des attaques soudaines et mortelles (p.167). C'est l'été 1898 à Fort Yukon (p.168). [...]
[...] Kiche enfin détachée est entraînée vers la forêt par le louveteau ; mais elle retourne au camp. Le louveteau est définitivement séparé de sa mère, et alors qu'il voulait la rejoindre, il est cruellement frappé par son maître Castor-Gris. XI- Croc-Blanc devient voleur, agressif ; il est haï de tous. XII- L'hiver arrive ; le camp est démonté (p.131). Croc-Blanc se cache pour s'échapper. Mais, pris par le froid et la peur, il retourne au camp. Il n'y a plus personne (p.133). Il court vainement à la recherche de la tribu. [...]
[...] Chez le louveteau, deux forces s'opposent : la crainte et la force de vie. Attiré par la lumière de l'extérieur, il sort de la caverne et chute de la falaise ; il fait ses premières expériences. Il dévore une famille de ptarmigans (des oiseaux) et découvre avec délice le goût du sang (p.82). Attaqué par une belette, il manque de mourir, mais sa mère le sauve de justesse (p.88). VIII- Le louveteau sort chaque jour de sa caverne. La famine sévit à nouveau. [...]
[...] Le chien Gros-Gaillard, pourtant attaché, est parti (p.23). Une louve rouge se montre sans crainte par rapport aux hommes (p.27). Bill est très pessimiste sur leur sort. Le traîneau se renverse ; pendant que les deux hommes tentent de le redresser, le chien N'a-qu'une-Oreille en profite pour fuir avec la louve (p.30). Bill, parti à l'affût, épuise ses dernières cartouches. Sans avoir assisté à la scène, Henry comprend qu'il ne reverra pas son compagnon (p.33). Les loups se rapprochent sans cesse. [...]
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