(...) Acte II
Le lendemain, sur le lieu de travail de Béranger.
Daisy raconte l'étrange événement de la veille. Ses collègues restent incrédules. Le témoignage de la jeune femme ne semble pas les convaincre, quand Béranger lui apporte son soutien. La polémique stérile est interrompue par M. Papillon, le Patron de la maison d'édition.
A la grande surprise de ce dernier, l'employé M. Boeuf est absent. Soudain apparait une Mme Boeuf essoufflée. Alors qu'elle venait (...)
[...] Ses collègues restent incrédules. Le témoignage de la jeune femme ne semble pas les convaincre, quand Béranger lui apporte son soutien. La polémique stérile est interrompue par M. Papillon, le Patron de la maison d'édition. A la grande surprise de ce dernier, l'employé M. Boeuf est absent. Soudain apparait une Mme Boeuf essoufflée. Alors qu'elle venait justifier l'absence de son époux, elle a été poursuivit par un rhinocéros. Quand le monstre réapparait, elle reconnait en lui son mari et quitte les lieux, telle une amazone, chevauchant l'animal. [...]
[...] Seule Daisy, une collègue dont il est épris, l'émeut quand il l'aperçoit. Béranger, troublé, renverse son verre sur son ami qui le sermonne à nouveau sur les effets de l'alcoolisme. Un second rhinocéros passe. La population, à nouveau rassemblée, est en émoi. En effet le chat de la ménagère est mort écrasé sous les sabots du monstre. Un débat oiseux s'engage alors entre les deux amis : s'agit-il du même Rhinocéros ? Est-ce un Rhinocéros d'Asie ou d'Afrique ? La discussion dégénère et les deux amis se quittent furieux. [...]
[...] Tous sont devenus des rhinocéros. Acte III La chambre de Béranger. Béranger ressent les premiers symptômes de la maladie qui a touché la quasi totalité de la population du village. Choqué, il est hanté par le souvenir de la monstrueuse métamorphose de son ami. Il cherche des explications psychologiques et biologiques, en vain. Dudard, un collègue, entre. Ensemble, ils commentent le phénomène. Le collègue minimise les effets de la transformation : puisqu'elle n'est pas mortelle, elle n'est pas dangereuse, qu'importe ! [...]
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