Les illusions perdues revient sur la période de 1920 à 1955 pendant laquelle, pas à pas, l'on suit le destin des Fraud, et notamment celui de Louise, fille de Jules et Sidonie, qui, pour échapper à l'emprise de ses parents et à l'ennui qui peu à peu la terrasse, s'unit à Arsène Rabineau avec lequel elle aura un premier enfant, Michel, puis deux autres, Jacqueline et Moïsette, cette dernière conçue pendant l'arrestation en plein conflit mondial, d'Arsène.
[...] Les illusions perdues et L'héritage d'Eponyme - Lucienne Chape Fiche de lecture Titre : les illusions perdues /L'HÉRITAGE D'EPONINE Auteur : Lucienne capée Pagination : les illusions perdues : trois parties distribuées en dix sous- parties pour les première et deuxième, sept pour la dernière, le tout numéroté et titré avec table des matières ; 140 pages numérotées. l'HÉRITAGE d'éponine : trois parties ; cinq sous-parties pour la première, quatre pour la deuxième, quatre pour la dernière, le tout accompagné d'un arbre généalogique, d'un prologue et d'un épilogue. Ensemble numéroté et titré pages numérotées. En bref : Ces deux tomes déçoivent assurément, notamment en raison de nombreuses approximations dans le récit. Un ancrage également beaucoup moins prononcé dans ces deux derniers volumes que dans le premier. [...]
[...] l'HÉRITAGE d'éponine se passe à l'époque actuelle et relate principalement la vie de la fille unique de Moïsette, qui, au gré des liaisons amoureuses, heureuses ou malheureuses, va d'abord être admise à Harvard, puis, au terme de ses études, va s'engager dans les ONG, notamment après le Tsunami ayant ravagé l'Inde. Après avoir perdu son père, un véritable choc pour la jeune fille qu'elle est alors, la vie lui enlève sa mère. Elle hérite de la maison et rencontre Muriel, alors à la recherche de sa tante Moïsette, qui se souvient des douces années d'enfance passées ici l'été, à Oléron. Commentaire : Après un premier tome très prometteur, nul doute que les lecteurs de ces deux derniers opus seront déçus. [...]
[...] Les lieux se déclinent très (trop) généreusement et, même s'ils convergent tous vers Oléron, il faut bien avouer que les descriptions de Paris, de Cambridge ou de Colombo ne brillent pas forcément par leur pittoresque. Seules les dernières pages du troisième tome renouent avec le même esprit. Ensuite, parce que le narrateur semble si pressé de raconter l'existence de ses personnages qu'il en oublie qu'ils la vivent. Autant Moïsette nous était proche dans ses atermoiements, autant les personnages de Louise et d'éponine ne nous livrent que très rarement les méandres de leurs pensées intimes. [...]
[...] Genre : Roman, les deux derniers tomes d'une saga familiale. Sujet : De 1920 à 1955, puis de nos jours, ces deux volumes, les deux derniers de la trilogie intitulée Oléron, s'attachent à relater les destins de plusieurs femmes de la même famille, destins indissociablement liés. Résumé : les illusions PERDUES revient sur la période de 1920 à 1955 pendant laquelle, pas à pas, l'on suit le destin des Fraud, et notamment celui de Louise, fille de Jules et Sidonie, qui, pour échapper à l'emprise de ses parents et à l'ennui qui peu à peu la terrasse, s'unit à Arsène Rabineau avec lequel elle aura un premier enfant, Michel, puis deux autres, Jacqueline et Moïsette, cette dernière conçue pendant l'arrestation en plein conflit mondial, d'Arsène. [...]
[...] À vouloir embrasser des générations entières, l'auteur oublie de s'arrêter sur l'histoire d'une âme, l'histoire d'un cœur. L'apparition d'oncle Jérémie, par exemple, page 44 du troisième volume de la série, peut d'autant surprendre qu'il apparaît familier au narrateur, alors que nous n'avons même pas fait connaissance avec lui, ou alors très furtivement (voir fin éventuellement du premier tome intitulé Les larmes de Moïsette Enfin, parce que quelques approximations se sont glissées dans le récit, voire quelques erreurs : dans le chapitre intitulé la guerre du deuxième volume de la trilogie, ce n'est certainement pas Albert qui embarque, mais bien le fils, Arsène, avec Étienne ou alors, c'est à n'y rien comprendre. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture