Le Sauvage est conduit avec Bernard Marx et Helmoltz Watson, un ami, devant le bureau de l'administrateur mondial : Mustapha Menier. Celui-ci, après une longue et vaine discussion pour faire comprendre à John les coutumes sociales, condamne ses deux amis à l'exil et tente de garder le jeune homme à Londres pour terminer les expérimentations sur son attitude face à la civilisation. Mais John n'a que faire de ces examens et s'enfuit vivre à l'écart de la civilisation dans un phare ...
[...] La suppression des libertés fondamentales est un sujet mis en valeur dans ce roman. Elle est caractérisée par l'apparition des castes et du conditionnement. Chacune d'entre elle est conditionnée tout particulièrement pour aimer ce qu'elle fait, mais elle ne dispose pas de la liberté des autres, ni de leur intelligence (ou de leur bêtise), ni de leurs métiers. Ce système de castes et de conditionnement limite totalement le libre-arbitre des individus, ce que désirent exactement les administrateurs mondiaux, mais qui est une atteinte grave aux libertés fondamentales. [...]
[...] Ainsi le chiffre de dix-sept mille bébés avec un seul embryon est déjà envisagé dans le centre d'Incubation et de Conditionnement de Londres ou travaille Lenina Crowne et Henry Foster, deux jeunes amants qui sont ensemble depuis trop longtemps déjà six mois aux yeux du Directeur d'Incubation et de Conditionnement (D.I.C). Car la loi veut qu'il ne se crée aucun lien durable entre deux personnes. Dans ce centre travaille également Bernard Marx, un homme complexé par sa petite taille. Il désire sortir avec Lenina, mais n'ose lui demander. [...]
[...] Linda : Bêta abandonné par son amant; mère de John. Résumé En l'an 632 de Notre Ford la stabilité règne sur le monde dont la devise supranationale est COMMUNAUTE, IDENTITE, STABILITE. Le monde nage dans le bonheur et est conditionné pour ne jamais changer. Depuis le procédé Bokanovsky, les embryons ne donnent plus un nouveau-né, mais des centaines, ce qui permet de ne pas s'attrister de la mort d'un être, puisqu'il peut être remplacé aussitôt par d'autres et que l'ordre social n'est pas perturbé. [...]
[...] Lorsqu'ils montèrent dans le phare, ils virent deux pieds pendant en l'air; les pieds du Sauvage Idées Dans ce roman d'anticipation mondialement célèbre, Aldous huxley a donné une vision de l'avenir qui, d'après lui, attend les hommes. Grand nombre d'idées sont mises en évidence dans ce livre, et notamment : La modernisation du monde au début du XXème siècle fait l'objet de ce livre paru en 1932. En effet, Huxley, en écrivant ce livre dénonce la modernisation du monde qui peut engendrer bien des malheurs. Le signe de la plus grande modernisation de ce siècle, c'est sans aucun doute l'automobile. [...]
[...] Il est distribué à toutes les castes après leurs journées de travail. Mais John ne supporte pas de voir sa mère mourir à l'hospice, entourée d'enfants jouant et chahutant autour d'elle pour être conditionnés à la mort dès leur plus jeune âge.Il se rue sur l'homme qui doit distribuer le soma, jette la drogue sous les yeux interloqués de Deltas qui ne comprennent rien aux paroles prêchées par le Sauvage pour la liberté, mais qui comprennent fort bien que leur soma part en fumée. [...]
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