On nous explique qu'un homme va nous conter une histoire qui lui est arrivé : « L'an dernier (1861), par une belle matinée de main, un passant, celui qui raconte cette histoire, arrivait de Nivelles et se dirigeait vers La Hulpe. » (p. 403). Il arrive devant une maison d'où sort une paysanne. Il lui demande où il se trouve, elle lui répond à Hougomont. Il se rend alors compte qu'il n'est pas dans un lieu anodin vu qu'il est sur le champ de bataille de Waterloo (...)
[...] Il a aussi des d'autres objets peu communs dans sa veste. Une pièce de cinq francs qui tombe à terre fait du bruit. Un jour, il va se promener et il donne de l'argent au mendiant. Quand ce dernier lève la tête, Jean Valjean est bouche bée et prit de peur : il pense avoir vu Javert. Cela le travail un moment : C'est à peine s'il osait s'avouer à lui-même que cette figure qu'il avait cru voir était la figure de Javert. [...]
[...] La question de l'eau à Montfermeil. On nous explique qu'à Montfermeil il n'y a pas beaucoup d'eau à cause de l'élévation du plateau. C'est donc assez difficile de trouver de l'eau pour chaque foyer. En effet, arrivé le soir, si un foyer n'a plus d'eau, soit il s'en passe, soit il va chercher de l'eau dans la forêt. Chez les Thénardier, c'est Cosette qui se charge de l'eau : On se souvient que Cosette était utile aux Thénardier de deux manières, ils se faisaient payer par la mère et il se faisaient servir par l'enfant. [...]
[...] L'aubergiste décide de les suivre pour savoir où ils vont, puis il décide de faire demi-tour. II) Le numéro 9430 reparaît et Cosette le gagne à la loterie. On nous confirme dans ce chapitre que cet inconnu n'est autre que Jean Valjean : Jean Valjean n'est pas mort ( Il nagea entre deux eaux jusque sous un navire au mouillage, auquel était amarrée une embarcation. (p. 554). Après son évasion, il va à Paris, achète des habits de deuil pour Cosette et part hercher la petite pour retourner à Paris : Le soir même du jour où Jean Valjean avait tiré Cosette des griffes des Thénardier, il rentrait dans Paris. [...]
[...] Il reconnaît le bruit de l'eau bénite et les pas des personnes de l'assistance partir. Il se croit seul quand il entend qu'on est en train de l'ensevelir : Tout à coup il entendit sur sa tête un bruit qui lui sembla la chute du tonnerre. C'était une pelletée de terre qui tombait sur le cercueil. Une seconde pelletée de terre tomba. (p. 708). Angoissé et submergé par la peur, Jean Valjean perd connaissance. Où l'on trouvera l'origine du moi ne pas prendre la carte. [...]
[...] Elles jouent, elles s'amusent. (p. 519). Elle avoue qu'elle n'a pas le droit de jouer, elle doit travailler. Enfin, elle explique qu'elle n'a pas de poupée mais qu'elle prend un petit sabre et qu'elle met un chiffon pour faire une poupée. Ils passent devant la boulangerie mais Cosette ne pense pas à aller acheter le pain que la Thénardier a commandé. Arrivé à deux pas de l'auberge, elle demande à l'homme qu'il lui redonne le seau car sinon, si la Thénardier voit qu'elle se le fait porter, elle va la frapper. [...]
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