[...] PARTIE II : COSETTE
Le narrateur évoque la bataille de Waterloo et la défaite de Napoléon. Cette réminiscence historique est l'occasion pour le narrateur de revenir sur le passé de Thénardier : la nuit qui suivait la défaite de Waterloo, un homme dépouillait les cadavres des officiers. Le voleur, qui n'était autre que Thénardier, voulut s'emparer d'une montre. Mais en soulevant le corps, il s'aperçut que l'officier n'était pas mort. Le colonel Pontmercy crut à tort que Thénardier était là pour le sauver... (...)
[...] Le bonheur de Cosette et Marius est bientôt contrarié : Jean Valjean souhaite partir avec elle en Angleterre. L'ancien forçat a reçu une lettre anonyme l'exhortant à fuir. Le lendemain, Marius trouve l'appartement rue Plumet désert. Le jeune homme songe à se suicider quand il est hélé dans la rue par des insurgés. La révolution est en marche, des barricades se dressent rue Saint-Denis. Gavroche, qui a dérobé un pistolet, se joint au groupe des rebelles. Les insurgés s'emparent de Javert, qu'ils font prisonnier. [...]
[...] Victor Hugo, Les misérables Roman Partie I : Fantine 1815. Jean Valjean, un ancien forçat condamné au bagne vingt ans plus tôt pour avoir volé du pain, est hébergé par Mgr Myriel, l'évêque de la ville de Digne. En dépit de la bienveillance de son hôte, Jean Valjean lui dérobe son argenterie avant de prendre la fuite au milieu de la nuit. Le voleur, intercepté par les policiers, est ramené avec son butin chez Mgr Myriel. Contre toute attente, l'évêque l'innocente et lui offre deux chandeliers en argent. [...]
[...] Les derniers rebelles se battent avec la force du désespoir. Gavroche défie les gardes nationaux si bien qu'il est abattu. Jean Valjean réclame l'autorisation d'exécuter lui-même Javert. L'ancien forçat et le policier se retrouvent face à face, à l'écart des barricades : Jean Valjean tire des coups de feu au ciel et relâche le prisonnier. Les insurgés sont pris d'assaut. La révolution est terminée. Ils vont être exécutés. Jean Valjean sauve in extrémis Marius. Les deux hommes prennent la fuite à travers les égouts de Paris. [...]
[...] Cette réminiscence historique est l'occasion pour le narrateur de revenir sur le passé de Thénardier : la nuit qui suivait la défaite de Waterloo, un homme dépouillait les cadavres des officiers. Le voleur, qui n'était autre que Thénardier, voulut s'emparer d'une montre. Mais en soulevant le corps, il s'aperçut que l'officier n'était pas mort. Le colonel Pontmercy crut à tort que Thénardier était là pour le sauver 1823. condamné au bagne, Jean Valjean parvient à s'échapper en se jetant à la mer. On le croit mort. Soucieux d'honorer la promesse qu'il a faite à Fantine, Jean ValJean décide de libérer Cosette. [...]
[...] Il lui avait offert un emploi de jardinier au couvent du Petit-Picpus. C'est désormais au tour du vieil homme de se montrer généreux : Jean Valjean est employé comme jardinier dans le couvent et se fait appeler Frère Fauchelevent. De son coté, Cosette est admise dans l'institution religieuse. Partie III : Marius Paris, la masure Gorbeau. Huit années ont passé. Une nouvelle famille vient d'emménager, Jondrette, son épouse, leurs deux filles, et leur fils Gavroche qui préfère vivre dans la rue. Un nouveau voisin s'installe : Marius Pontmercy. [...]
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