Le début du roman commence sur la biographie d'un évêque : « En 1815, M. Charles-François-Bienvenu Myriel était évêque de Digne. » (p. 35). Le narrateur nous explique que les on-dit marquent la vie d'un être humain autant que ses actes : « Vrai ou faux, ce qu'on dit des hommes tient souvent autant de place dans leur et surtout dans leur destinée que ce qu'ils font. » (p. 35). On ne connaît pas toute l'histoire du prêtre Miguel, mais le narrateur nous explique qu'il est parti avec sa femme en Italie. Lors de son voyage sa femme est décédée et à son retour, le prêtre Miguel était devenu curé (....)
[...] Et un jour hommes apportent une caisse emplie de biens. Dans cette caisse, il y avait un mot : Cravatte à monseigneur Bienvenu L'évêque se rend compte qu'en tout homme il y a de la sagesse et il décide de bannir les préjugés : - Ne craignons jamais les voleurs ni les meurtriers. Ce sont là les dangers du dehors, les petits dangers. Craignons-nous nous- mêmes. Les préjugés, voilà les voleurs ; les vices, voilà les meurtriers. (p. 66). Philosophie après boire. [...]
[...] Le malfaiteur qui était venu, c'était le père Madeleine. (p. 234). On sait aussi qu'il y a deux chandeliers sur sa cheminée : Elles n'y purent rien remarquer que deux flambeaux de forme vieillie qui étaient sur la cheminée et qui avaient l'air d'être argent (p. 235). M. Madeleine en deuil. Dans ce chapitre, on apprendre que M. Myriel est décédé : Au commencement de 1821, les journaux annoncèrent la mort de M. Myriel, évêque de Digne, surnommé monseigneur Bienvenu (p. [...]
[...] Mais rapidement, le médecin avoue à M. Madeleine qu'elle diminue beaucoup et qu'elle ne tiendra plus longtemps. Le soir même, le garçon de bureau voit M. Madeleine examiner la carte routière de France. Perspicacité de maître Scaufflaire. M. Madeleine se rend chez maître Scaufflaire pour aller louer un cheval et une charrette. Il passe par le chemin le plus court et donc il est obligé de longer le presbytère. Il hésite longuement avant de sonner à la porte du curé, mais il renonce et repart d'un pas décidé en direction de l'atelier de Scaufflaire. [...]
[...] L'ouvrage ne le permet pas. (p. 218). Le père Thénardier accepte à condition qu'elle lui donne 7 francs par mois et cinquante-sept francs d'avance. Fantine accepte : Le marché fut conclu. La mère passa la nuit à l'auberge, donna son argent et laissa son enfant, renoua son sac de nuit dégonflé du trousseau et léger désormais, et partit le lendemain matin, comptant revenir bientôt. (p. 219). Les Thénardier sont heureux car grâce à cette avance, ils échapperont à l'huissier et au protêt acte par lequel le bénéficiaire d'un chèque, d'une lettre de change, fait constater par un huissier qu'il n'a pas été payé à l'échéance.) Première esquisse de deux figures louches. [...]
[...] Madeleine. Il demande comment va Fantine et la sœur lui raconte tout ce qui c'est passé. Il la félicite de ne pas l'avoir contredit dans désir de revoir Cosette. Néanmoins, la sœur Simplice comprend bien vite qu'il n'est pas parti chercher l'enfant : La sœur n'osa pas interroger monsieur le maire, mais elle vit bien à son air que ce n'était point de là qu'il venait. (p. 378). La sœur Simplice se rend alors compte que les cheveux de M. [...]
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