Chaque samedi se tient un marché aux puces, près de Crouch End, à Londres. Matthew King, personnage principal de la nouvelle, décide de s'y rendre pour trouver un cadeau d'anniversaire pour son père. L'atmosphère est propice à l'irruption du fantastique : Londres est une grande ville agitée et le vide-greniers est un environnement à part, à la fois plein de vie et espace désolé. Un homme descend d'une belle Volkswagen rouge et le souvenir de cet instant est gravé en Matthew "comme une photographie", expression qui annonce l'objet que l'adolescent trouve parmi les possessions du conducteur. Matthew obtient l'appareil pour quarante livres, une somme bien basse que le propriétaire justifie : ces affaires appartenaient à des élèves des Beaux-Arts auxquels il louait une chambre mais ces derniers ont disparu sans payer de loyer, obligeant l'homme à vendre leurs biens (...)
[...] Devant cette horrible découverte, Isabel n'a plus qu'une seule solution : détruire la baignoire. Alors que ses parents sont absents, la porte de la salle de bains se referme derrière la jeune fille et un bain bouillant a été coulé. Du sang remonte, accompagné d'asticots. La silhouette de Jacob est visible dans le miroir et il s'avance vers la jeune fille. Elle continue, pleine de courage, à frapper la baignoire. Contre toute attente, c'est le père d'Isabel qui l'empoigne et l'eau est redevenue claire. [...]
[...] Les quatre photos du garçon sont plus ou moins ratées car toujours prises par surprise. Quand il récupère enfin ses clichés, le garçon remarque qu'une des photos n'est pas de lui. On y voit un homme inquiétant, à la face jaune, la peau plissée. Le garçon est frappé par cette vision d'horreur et ne comprend pas comment l'homme a pu se glisser parmi ses tirages. Il rejoint alors oncle Peter et tante Anne. Peter lui dit que l'appareil doit être détraqué mais plusieurs détails chagrinent le garçon : la photo a été incorporée parmi les siennes, et non en première, comme si la pellicule avait été coupée au mauvaise endroit et, plus effrayant encore, l'homme sur la troisième photo pose dans la même posture que l'avait fait le jeune blondinet ! [...]
[...] Un homme descend d'une belle Volkswagen rouge et le souvenir de cet instant est gravé en Matthew comme une photographie expression qui annonce l'objet que l'adolescent trouve parmi les possessions du conducteur. Matthew obtient l'appareil pour quarante livres, une somme bien basse que le propriétaire justifie : ces affaires appartenaient à des élèves des Beaux-Arts auxquels il louait une chambre mais ces derniers ont disparu sans payer de loyer, obligeant l'homme à vendre leurs biens. Quelques questions rhétoriques marquent le trouble de Matthew à cette annonce. Plus étrange encore, le miroir qu'il avait photographié pour tester l'appareil vient de subitement se briser. [...]
[...] Harriet, très attachée à ses possessions et prenant pour acquis son train de vie, est vendue, à son insu, à un cuisinier hors norme, qui décide de servir la petite en plat de résistance, ses parents ayant accepté de s'en séparer car ils étaient ruinés. Gary, quant à lui, est une terreur. Il ne respecte rien ni personne et s'amuse à terroriser les autres, se croyant maître en tous lieux. Il se heurte pourtant à la même Dame Nature que vante sa grand-mère. Furieuse d'avoir été souillée par lui, il semblerait qu'elle reprenne ses droits en fin de nouvelle, puisqu'elle le transforme en être incapable de nuire à autrui. Epouvantail, il n'effraie plus que les corbeaux. [...]
[...] Ils travaillent sur Smash Crash Slash 500 Plus et assurent que pour sa participation qui n'est pas explicitée Kevin touchera 2000 livres par semaine et disposera même d'une voiture. Pourquoi jouit-il aussi d'une indemnité funérailles ? Kevin sort par une étrange porte lumineuse. Au moment d'arriver chez lui, Kevin est poursuivi par un homme en costume, qui tente de l'abattre ! Il parvient à se réfugier chez lui mais l'homme fait voler en éclats la porte d'entrée. Kevin lui lance une table au visage et décide de regagner la rue pour appeler la police. [...]
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