Résumé du roman de G. Maupassant Le Horla. Ce document comporte les deux version de l'oeuvre, la première version est celle de décembre 1886 et la deuxième version est celle de mai 1887.
[...] On boit la carafe d'eau , puis le lait. Il en arrive à la conclusion effrayante que quelqu'un est présent dans sa chambre chaque nuit et que celui-ci boit son eau et mange ses aliments. Il décide de se rendre à Paris où il reste trois semaines. Il assiste à une séance d'hypnotisme qui le trouble profondément . Une question lancinante l'angoisse : Existe-t-il des forces invisibles ? Rentré chez lui, il est à nouveau saisi par la peur. Il ne paraît plus maître de ses actes. [...]
[...] RESUME DE HORLA, de MAUPASSANT Il existe deux versions du «Horla». Un premier «Horla» a été publié dans Gil Blas, à Paris le 16 octobre 1886, puis repris dans la Vie populaire le 9 décembre 1886. Ce premier récit ne fut jamais intégré à un recueil du vivant de Maupassant. Une seconde version fut publiée directement dans un recueil auquel elle donna son titre. Ce recueil fut publié chez Ollendorff en mai 1887. Résumé de la première version Le Dr Marrande dirige une maison de santé. [...]
[...] Maintenant, l'homme en est sûr, un être invisible est à quelques pas de lui, l'envahissant de sa présence pesante ; il baptisa cet être le horla Un soir il il se retourne vers son miroir comme il a l'habitude de faire. Il est surpris de ne plus apercevoir son reflet. Celui-ci a disparu. Puis lentement il réapparait comme si quelqu'un ou quelque chose était passé devant lui . Le narrateur finit par mettre le feu à sa maison pour tuer le horla Mais il doute du succès de son action. Sera-t-il obligé de se tuer lui aussi ? [...]
[...] Un jour il voit passer devant sa maison un trois-mâts brésilien. A compter de ce jour, il est victime d'étranges sensations, de malaises et de fièvre. Il en vint à se qu'il n'était pas seul, qu'on le suivait quoi qu'il fasse, qu'il était pourchassé par un être qu'il ne pouvait voir. Le narrateur nous décrit son anxiété et le trouble qui l'habite. Il évoque ce jour, où il s'est endormi en laissant près de son lit une carafe remplie d'eau. [...]
[...] Il décida alors de de retirer dans la maison de santé Dr Marrande. S'il ne parvient pas expliquer son mal, il se souvient toutefois que ses premiers troubles sont apparus suite au passage d'un trois-mâts en provenance du Brésil où sévissait alors une épidémie de folie. Le récit de son patient achevé, le Dr Marrande conclut : Je ne sais si cet homme est fou ou si nous le sommes tous les deux . ou si . si notre successeur est réellement arrivé. [...]
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