Histoires extraordinaires - Edgar Poe

Thèmes abordés

Littérature, Edgar Poe, lieux du crime, Dupin, Scarabée d'or, Hans Pfaall

Résumé du document

Double assassinat dans la rue Morgue

Grande introduction sur ce qu'est un homme analyste. A Paris, rencontre avec Mr Dupin lors de la rechercher d'un même livre rare. Dupin= ancien riche, son seul luxe = les livres. Gde amitié, reste avec lui durant tout son séjour, loge ensemble dans « une maisonnette antique et bizarre, […] située dans une partie reculée et solitaire du faubourg Saint-Germain. Mr Dupin est un homme analyste.
Passage où Dupin a deviné tout le cheminement des pensées du narrateur.
Vivent dans l'ombre, vivent la nuit et ferment tt accès à la lumière pour prolonger la nuit dans leur maison. Sortent à des heures très tardives dans les rues de Paris. Dupin tombe sur un journal parlant d'un double meurtre mystérieux. Convainc son ami de venir investir les lieux du crime pour faire eux-mêmes leur enquête

Extraits

[...] Arrivée près de Charleston, à l'île de Sullivan. Le ballon : Premières pages = descriptif détaillé de la constitution et du fonctionnement de la montgolfière. « La vis consiste en un axe formé d'un tube de cuivre creux, long de six pouces, à travers lequel » Le journal : déroulement du voyage, problèmes rencontrés et impressions. Dernier paragraphe : « Voilà certainement l'entreprise la plus prodigieuse, la plus intéressante, la plus importante qui ait jamais été accomplie ou même tentée par un homme. [...]

[...] Ville sur les bords du Rhin. Description de la beauté de son grand amour Lady Ligeia. Les cheveux longs, bouclés et noirs, la peau de marbre, et, ses grands yeux noirs cernés de longs cils de la même couleur. Insistance sur ses yeux, si particulier dans leur expression, comparaison de cette singularité dans certaines choses non vivantes de la vie (comme les étoiles). Maladie de Ligeia. Met une énergie incroyable à se battre contre la mort. Car avoue son amour au narrateur et peine de voir la mort si proche alors qu'enfin elle aime. [...]

[...] Personne ne le réclame dans la demeure voisine, ils disent ne pas connaître l'animal, pourtant il a des marques du feu des écuries et les initiales WVB sont marquées au fer sur sa robe. Le baron est heureux d'acquérir cette bête. Un domestique de chambre vient lui conter anecdote singulière. Un morceau de tapisserie a disparu d'une des chambres. Du reste on n'entend rien que des murmures imperceptibles. Lui donne l'ordre de condamné la chambre et qu'on lui remette la clef. On lui annonce ensuite de la mort du conte de B. Il a péri dans les flammes en tentant de sauver la partie préférée de son haras de chasse. [...]

[...] Ne souffre plus comme ça, est un peu comme mort. Réflexion du patient sur Dieu, puis sur la matière. Au bout d'un moment, P s'inquiète d'une « singulière expression » et s'empresse de le réveiller. Il meurt de suite en souriant. Souvenirs de M. Auguste Bedloe Fin 1827, près de Charlottesville, en Virginie, connaissance de Mr Bedloe. Intrigue bcp le narrateur qui ne connait rien de lui, mm pas son âge qu'on devine difficilement. Description de son physique atypique, qu'on pourrait penser moche mais qui est à l'égard du narrateur agréable. [...]

[...] Lui rend visite et attend l'arrivée de son hôte à l'intérieur, près du feu (très rare sont les jours où le froid oblige à chauffer les demeures). Legrand parle de sa trouvaille : un scarabée particulier. Le dessine pour le montrer à son ami mais celui-ci voit un crane, ce qui vexe Legrand. Celui-ci semble bizarre, le narrateur prend congés plus tôt que prévu. Un mois après visite de Jupiter, inquiet pour son maître. Il apporte une lettre de celui-ci. [...]