Le Nez
Un matin, le barbier Ivan Yakovlevitch découvre un nez coupé dans le pain de son petit déjeuné.
Au même instant, le Major Kovaliov se réveille et découvre avec stupeur que son nez a disparu de son visage.
Plus tard il rencontre son Nez en uniforme dans la rue. Mais ce dernier le méprise ouvertement et refuse de lui adresser la parole. Kovaliov, dont la vie sociale et affective s'avère difficile sans son nez, hésite à publier un avis de recherche. Mais trouvant l'idée ridicule, il renonce. Il préfère solliciter l'aide du commissaire. Une fois chez lui, on lui ramène son Nez. Il a été arrêté alors qu'il tentait de fuir la ville (...)
[...] Mais ce tableau resta pour un temps inachevé : chaque fois que le peintre tentait de l'achever, il ressentait un trouble inexplicable. Quand le vieillard mourut, le peintre tomba dans la vilénie et le blasphème. Des années de privation, de jeûne et de prière lui permirent de retrouver son talent. C'est le peintre lui-même qui a demandé à son fils de retrouver le tableau maléfique afin de le détruire. Le jeune homme termine son récit. Quand il se retourne vers le tableau . [...]
[...] Au bureau, les collègues d'Akaki le compliment sur son manteau neuf. On décide d'organiser une fête en son honneur. Le soir des festivités, Akaki, sur le chemin du retour, se fait agresser : on lui vole son manteau neuf. Le fonctionnaire souhaite vivement retrouver les voleurs. A cette fin, il sollicite l'aide d'un haut personnage de la ville. Mais sa requête est ignorée. Le pauvre Akaki contracte une pneumonie dont il meurt. Plus tard, une rumeur circule : le fantôme d'un fonctionnaire erre dans la ville à la recherche de son manteau. [...]
[...] Très vite, Koliakov devient une curiosité. Un jour, le Nez rejoint sa place aussi mystérieusement qu'il l'avait laissée. Malgré l'invraisemblance du récit, l'auteur assure son authenticité. Le manteau Akaki Akakievitch, fonctionnaire humble et timide, subit les moqueries de ses collègues de travail. Un jour, Akaki décide de faire réparer son manteau usé. Il sollicite les services du tailleur Pétrovitch qui lui recommande de s'en faire confectionner un nouveau. Dorénavant la vie d'Akaki est toute entière motivée par l'acquisition de son nouveau manteau. [...]
[...] Il ignore tout d'elle mais imagine ses qualités. Elle devient son idéal. Un jour il décide de la suivre. Quelle n'est pas sa désillusion quand il réalise qu'elle est une prostituée. Depuis cette amère découverte, Piskarov s'enivre de paradis artificiels, de fantasmes où il retrouve une femme idéalisée. Un jour, le jeune peintre décide de la demander en mariage. Mais il est éconduit, pire il est ridiculisé. Une semaine plus tard, Piskarov est retrouvé mort, la gorge tranchée, dans son appartement. [...]
[...] Il s'affuble d'une cape et se présente au bureau ainsi accoutré. Plus tard, il prétend être en Espagne. Là-bas, tout le monde a le crâne rasé. On le bat et lui verse de l'eau glacée sur la tête l'Espagne n'est autre qu'un hôpital psychiatrique où ce médiocre fonctionnaire a été enfermé. Le Nez Un matin, le barbier Ivan Yakovlevitch découvre un nez coupé dans le pain de son petit déjeuné. Au même instant, le Major Kovaliov se réveille et découvre avec stupeur que son nez a disparu de son visage. [...]
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