Georges 1847, Alexandre Dumas, éloge de l'ile Maurice, fiche de lecture, résumé, Pierre Munier, M. de Malmédie, métissage, Lord Murrey, Miko-Miko, Laïza, exercices des Lascars
Alexandre Dumas s'identifie très certainement à son personnage, car il était mulâtre lui-même ("mulâtre" = métisse). Georges (comme Dumas) est riche et intelligent. Le fait que certains l'identifient à un nègre s'avère pour lui infondé, car il possède du sang de race blanche, "pur". Dans le premier chapitre, on a une présentation (longue description) de l'île Maurice. Il fait l'éloge de cette aire de repos que le narrateur oppose à Paris, ville triste où il fait froid et où le bien-être est absent. Il fait une description du voyage de Paris à Marseille, puis de Marseille à l'île Maurice. Il décrit ensuite l'arrivée à Port-Louis, capitale de l'île Maurice.
[...] Georges arrive et prononce à son tour un discours. Il est élu chef. Il a libéré ses 300 esclaves (plantation de son père) et donné de l'or à chacun d'eux pour qu'ils aient tous une arme. • Chapitre 20 «Le rendez-vous» : Sara envoie un courrier à Georges où elle lui demande de venir chez Lord Murrey à 14h. Message prometteur d'une bonne nouvelle. Georges répond oui à Sara et se prépare à y aller malgré les dangers qu'il va encourir en venant en ville. [...]
[...] • Chapitre 30 «Le combat» : Combat entre la Calypso et le Leycester. Les parts de soldats et d'armes sont égales même chance de gagner. C'est la Calypso qui gagne et le Leycester qui coule. Pierre Munier a veillé sur ses fils et les a sauvé à plusieurs reprises d'une mort presque certaine. Lord Murrey décide de mourir sur son navire avec les soldats blessés. Georges dit à Sara que s'il n'avait pu vivre avec elle, il aurait rêvé de cette mort-là. [...]
[...] Elle est courtisée par Mr Henri de Malmédie et désirée par Georges et Laïza (amoureux en silence car nègre). Au XIXe siècle à l'île Maurice = deux moyens de transport : cheval ou palanquin. Le palanquin = charrette tirée par des nègres. Henriette Smith = gouvernante de Sara. Elle veille sur son éducation. Jeune femme sans dot, donc sans époux. Restée vieille fille. M de Malmédie lui propose de quitter Paris pour s'installer à l'île de France et éduquer sa nièce Sara (9ans). Henriette accepte avec joie. Sara et Henriette se lient d'amitié. [...]
[...] Georges leur confie son amour pour Sara le père est épouvanté de l'orgueil de son fils mulâtre, mais Jacques n'est pas étonné et lui propose de les emmener tous deux hors de l'île, ce que Georges refuse car il a un plan. -Georges retrouve Milo-Miko. Sara a compris le lien entre le marchand et Georges; elle a acheté tous les produits écrits de la main de Georges et gardé le papier. Le marchand décrit et dessine à Georges un plan exact de l'architecture de la maison des Malmedie. Sara se tient toujours dans un pavillon par lequel Georges peut entrer par une fenêtre. Georges, heureux, écrit une lettre qu'il met dans un coffre fermé à clefs à remettre à Sara. [...]
[...] Georges subit alors les injustices de l'école : honni et battu par tous (blancs). Il finit par être le vainqueur des combats, «la force lui venait peu à peu». «Alors ce fut lui qui fut craint et, étant craint, fut respecté». Le jeune homme est devenu beau, fort et intelligent (grandes études). • Il décide de jouer aux jeux d'argent pendant 3 jours : perd l'argent misé les deux premiers jours mais gagne une fortune le dernier jour. Ne retournera plus jouer par la suite. [...]
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