Gargantua, Rabelais, humanisme, littérature, rire, comique, comique de mots, comique de situation, éducation, satire, Religion, science
Rabelais est un grand représentant de l'Humanisme en France, tout au long de sa vie, il cherche le savoir et développe son intellect en étant prêtre, médecin puis écrivain.
Gargantua vit dans un idéal imaginaire pour les lecteurs de l'époque qui vivent des périodes de famines et de pauvreté. Le rire permet aux lecteurs de s'évader, car ils vivent une période difficile, rythmée par la guerre, la famine.
[...] Il étudie les mathématiques, les sciences physiques, les langues, les arts, la nature. Gargantua devient un véritable touche-à-tout. Il accorde désormais une importance à l'hygiène, à son alimentation, saine et légère mais aussi à l'activité physique régulière, c'est l'idée d'"un corps sain dans un esprit sain". La satire de la guerre Un bon prince n'accepte jamais aucune guerre, excepté quand, après avoir tout tenté, il ne peut l'éviter par aucun moyen. [...] L'homme est né pour la paix et l'amour [et non] pour la rapine et la guerre. [...]
[...] Question au lecteur : comment atteindre le bien-être : Le lecteur est invité à réfléchir à comment atteindre le bien-être dans un monde violent et intolérant. Solution de Rabelais : Selon Rabelais, la solution est de chercher, réfléchir et agir par soi-même, plutôt que de se fier aux avocats ou aux religieux. Le rire, une façon d'aborder la science sans tabou Les références à des fonctions corporelles considérées comme taboues, telles que l'accouchement, l'urination et la défécation, sont courantes dans les écrits de Rabelais. [...]
[...] Grandgousier cherche avant tout la paix et le bonheur de ses sujets. Pour apaiser les tensions, Grandgousier se met en devoir de modérer sa colère tyrannique [de Picrochole] en lui offrant tout ce que je pensais pouvoir le contenter R tourne en dérision la guerre et critique la violence qu'elle engendre : Les flèches sont des mouches qui tourbillonnent autour du géant Les boulets tombent de la tête de G quand il se peigne Frère Jean combat les ennemis avec des armes absurdes plutôt qu'une noble lance , il utilise un bâton de croix Gargantua mange des pèlerins qu'il prend pour une salade, la jument noie de son urine les ennemis, le sang se mêle au vin Le lecteur est confronté à une certaine réflexion sur la guerre, est-elle vraiment nécessaire ? [...]
[...] Il compare les moines aux singes tout ce qu'il fait, c'est chier. Ils n'ont ni l'utilité du paysan ni celle de l'homme de guerre, du médecin, du docteur évangélique ou du marchand selon Gargantua. Gargantua affirme aussi que les prières que récitent les moines, sont incomprises et bâclées : Ils marmonnent à grand renfort de légendes et psaumes nullement par eux entendus. Ils content force patenôtres entrelardées de longs ave marias, sans y penser ni entendre. Pour décrire ces moines, Rabelais emploie le néologisme moque-Dieu. [...]
[...] , en parlant du gosier de G l'accouchement de Gargamelle, le fait d'uriner, de déféquer Comique de situations Naissance de par l'oreille G réclame à boire dès sa naissance Banquet à la naissance de G Pour allaiter Gargantua, il faut 17 913 vaches, sa poussette est une charrette à œufs jument grande comme 6 éléphants , qui fut amenée par mer sur 3 navires et un vaisseau Les parents de Gargantua qui festoient, mangent et boivent en abondance Pour le géant qu'est Gargantua,les flèches sont comme des mouches qui tourbillonnent autour du géant, les boulets tombent de la tête de Gargantua quand il se peigne. Gargantua est un enfant qui remet en question l'ordre : Gargantua, durant son enfance, se comporte comme un bébé, mais il est très actif contrairement aux enfants de l'époque que l'on considérait comme inutiles, qu'il fallait ne pas les entendre. Gargantua accumule les actions sales et les bêtises. [...]
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