Maroc, récit de voyage, Sur la frontière Marocaine, Capitaine Guillaume, découverte faune et flore
Il s'agit d'un récit de voyage relatant la vie d'un lieutenant ayant pour mission la protection de la frontière séparant le Maroc et l'Algérie.
Ce voyageur va faire plusieurs promenades, et il va découvrir des lieux, accompagné d'un groupe d'arabes et notamment, Yézid. Au long de son trajet, il n'hésite pas à décrire les habitants et leurs coutumes dans les différentes fêtes qu'ils organisent, la culture, et parfois la faune et la flore.
[...] C'est le temps maintenant du parcourt de village vers M. Say, pour faire la connaissance de M. Ledoux, sa famille et même son métier. Cependant, le lieutenant en se promenant dans les rues, porte une vision négative sur l'arabe vendeur qui n'aime que le repos, et qui déteste le client, une source de dérangement pour lui. Un autre personne également qu'il va rencontrer, s'appelle P , le cousin éloigné de M. Say. M. Bourmancé, l'avertit du danger de celui-ci, puisqu'il est convertit à l'Islam voire sa splendeur. [...]
[...] Leur seule valeur réside dans l'art de communiquer, et de politesse. Ils passent par Sidi Brahim et Bab-el-Assa, où le bataillon de chasseurs d'Orléans fut massacré par les fanatiques d'Abd el Kader. Avec cette histoire, le héros n'est pas surpris de trouver le calme et le désert ainsi que des milieux vides de tout trait de vie. Ces lieux sont les témoins des grandes catastrophes. Quinze jours découlés, notre voyageur se trouve dans un quartier juif qui le trouve misérable et sale. [...]
[...] Ce qui pousse le lecteur à réfléchir sur l'intention de l'écrivain à travers ses écrits, et son voyage ; s'il avait vraiment voyagé, et donc on le nomme voyageur ou juste il a fait un voyage dans les livres. Ces questions et d'autres sont des problématiques auxquels les chercheurs, dans le domaine des récits voyage, n'ont pas trouvé de réponses définitives. Et à leur part, ils posent tant d'autres questions et attendent que le temps leurs montre des réponses adéquates et convenables. [...]
[...] Et comme d'habitude, il n'hésite pas de décrire l'espace où il se trouve. De plus, il décrit l'aspect vestimentaire de cette personne et son logis, d'une manière valorisante. Mais les coutumes étaient le point de mépris et de reproches pour lui ; car, leur hospitalité juge leur hypocrisie puisque les enfants et tous les amis de caïd, suivent et attendent avec impatience les plats vers la fin de l'invitation. Les femmes, elles, contrairement aux autres personnes sont enfermées dans un coin. [...]
[...] Ce qui fait que la religion chrétienne est valorisée devant la religion musulmane. Le soir, la pluie tombe, la compagnie se situe dans la tribu des Achache où les habitants ne vivent que sous des tentes menacés par les catastrophes. A sept heures du matin, et arrivée à Oudjda il fait une promenade et commence la description par les routes du Maroc, puis l'absence d'habitants qui témoigne la présence la colonisation dévorant tout, et qui rend la vie difficile. Tandis que les arbres fruitiers, le paysage, les boutiques renferment une délicatesse claire et il ne manque à la culture que des jardiniers compétents pour sa beauté. [...]
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