La Fortune des Rougon, Chapitre IV, Zola, Macquart, Antoine Macquart, Gervaise
Les traits caractéristiques du personnage de Macquart (grand-père) et de son comportement sont la paresse, l'ivrognerie, la lâcheté et la manipulation. En effet, il est prêt à toutes les trahisons pour vivre une vie de paresse égoïste. Les traits qu'Antoine Macquart (père) doit à son père sont son amour du vagabondage, sa tendance à l'ivrognerie, ses emportements de brute. Sous l'influence nerveuse de sa mère, les défauts de son père prennent sur le fils une sournoiserie pleine d'hypocrisie et de lâcheté. Antoine appartient à sa mère par un manque absolu de volonté, par un égoïsme de femme voluptueuse. À cause de son éducation négligée, Antoine est devenu un voleur, volant l'argent durement gagné par ses enfants, Lisa, Gervaise et Jean.
[...] Fiche de lecture du chapitre IV de la Fortune des Rougon, Zola La fortune des Rougon rassemble quatre générations de personnages. Les traits caractéristiques du personnage de Macquart (grand-père) et de son comportement sont la paresse, l'ivrognerie, la lâcheté et la manipulation. En effet, il est prêt à toutes les trahisons pour vivre une vie de paresse égoïste. Les traits qu'Antoine Macquart (père)doit à son père sont son amourr du vagabondage, sa tendance à l'ivrognerie, ses emportements de brute. Sous l'influence nerveuse de sa mère, les défauts de son père prennent sur le fils une sournoiserie pleine d'hypocrisie et de lâcheté. [...]
[...] Macquart a une mauvaise influence sur Silvère, le pousse à la violence. Les miettes de science que Silvère a pu accumuler le bercent d'illusions, d'exaltations généreuses et en font donc la proie de l'infâme Macquart. En effet, ce dernier le flatte, l'amadoue, lui voue une fausse admiration afin d'avoir un contrôle sur Silvère et ainsi pouvoir le manipuler à sa guise pour en faire son bras armé pour assouvir sa vengeance contre les Rougon. Macquart n'aime pas Silvère, il souhaite seulement le contrôler. [...]
[...] Les insurgés devaient se diriger vers les plateaux de Sainte-Roure, à une dizaine de lieux, et c'est la perspective de cette longue marche qui avait décidé les insurgés à pénétrer à Plassans malgré l'heure tardive. Le narrateur prévient son lecteur que le geste violent de Silvère et l'erreur de stratégie des insurgés mettent en œuvre la fatalité et annoncent une tragédie. En effet, cette erreur prouve l'inexpérience du général improvisé et ce détour va les mener à leur perte. De plus, le geste violent de Silvère prouve son incapacité à rester maître de lui, ce qui ne peut être que dangereux pour lui. Cet épisode a donc une valeur prémonitoire. [...]
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