L'Avare est une pièce de comédie que Molière joua pour la première fois au palais Royal en 1668. Il fit une série de quatre ou cinq représentations jusqu'en 1669.
L'Avare est paru sous de nombreuses éditions, par exemple dans l'édition « Le livre de poche » (Molière, Théâtre complet, tome 3, 1964).
Le thème général de l'oeuvre est bien sûr, l'avarice. L'avarice d'un avare, Harpagon qui tyrannise sa famille par une épargne rigoureuse de tout, qui nuit à l'épanouissement de ses enfants en âge de se marier ...
[...] ANSELME : Père de Marianne et de Valère, il est riche. Sa vie ne fut pas très gaie, durant un naufrage il fut séparé de sa famille, mais à la fin, il retrouve ses deux enfants puis sa femme. Son vrai nom est Dom Thomas D'Alburcy. LA FLECHE : Valet de Cléante, c'est lui qui trouve un prêteur pour Cléante. DAME CLAUDE : Servante d'Harpagon. FROSINE : femme d'intrigue. Elle est très douée pour marier les gens. ( ) Je marierais le Grand Turc avec la République de Venise. [...]
[...] Il est assez coquet, il aime la toilette, il joue à des jeux d'argent et gagne souvent, mais il fait des dettes partout. Il ne supporte plus la tyrannie économe de son père. ELISE : Fille d'Harpagon, sœur de Cléante, amoureuse de Valère. C'est une jeune fille sage en âge de se marier. Comme son frère, elle ne supporte plus son père. VALERE : Amant d'Elise, Fils d'Anselme (intrigue de la fin). Il s'est mis au service d'Harpagon comme domestique pour être auprès d'Elise. MARIANE : Maîtresse de Valère, fille d'Anselme (intrigue de la fin). [...]
[...] Il n'aime guère Valère et l'accuse du vol de la cassette de l'Avare. BRINDAVOINE : LA MERLUCHE : LE COMMISSAIRE ET SON CLERC : Ils sont présents uniquement dans les dernières scènes, ils enquêtent sur le vol de la cassette. Résumé : Harpagon est un riche bourgeois. Il a deux enfants en âge de se marier. Il régit sa maison despotiquement et tyranniquement par une épargne rigoureuse de tout. Ses enfants en souffrent : Cléante est obligé de jouer aux jeux d'argent et d'emprunter pour s'habiller correctement. [...]
[...] Cependant, Frosine, j'en ai soixante bien comptés. (Acte II, scène IV). Profession : La profession d'Harpagon n'est pas précisée, mais on sait qu'il fait fructifier l'argent qu'il amasse en le prêtant et en exigeant des taux d'intérêts exorbitants (dans la pièce, environ 25% d'intérêts). Mémoire d'Harpagon : ( ) Mais comme ledit prêteur n'a pas chez lui somme la somme dont il est question, et pour faire plaisir à l'emprunteur il est contraint lui-même de l'emprunter à un autre, sur le pied du denier cinq, il conviendra que ledit emprunteur paye cet intérêt sans préjudice du reste, attendu que ce n'est que pour l'obliger que ledit prêteur s'engage à cet emprunt (Acte II, Scène I). [...]
[...] Molière était contemporain d'écrivains célèbres tels que Racine, Boileau Toutes les œuvres de Molières sont célèbres, en voici une petite sélection : - Le malade imaginaire ; - Tartuffe ; - Les précieuses ridicules ; - Le misanthrope ; - Les fourberies de Scapin Présentation de l'œuvre : L'avare est une pièce de comédie que Molière joua pour la première fois au palais Royal en 1668. Il fit une série de quatre ou cinq représentations jusqu'en 1669. L'Avare est paru sous de nombreuses éditions, par exemple dans l'édition Le livre de poche (Molière, Théâtre complet, tome 1964). Le thème général de l'œuvre est bien sûr, l'avarice. L'avarice d'un avare, Harpagon qui tyrannise sa famille par une épargne rigoureuse de tout, qui nuit à l'épanouissement de ses enfants en âge de se marier. Travail concernant le ou les personnages principaux : Prénom : Harpagon. [...]
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