I) Biographie de l'auteur
Patrick Modiano est né le 30 juillet 1945 à Boulogne-Billancourt. Il est le fils de Luisa Colpeyn, actrice d'origine flamande, et Albert Modiano, un homme d'affaires italien. Patrick Modiano grandit entre Jouy-en-Josas et la Haute-Savoie. Ses parents étaient souvent absents et sa scolarité passée en pension le rapproche de son frère aîné Rudy, qui meurt d'une maladie à 10 ans en 1957. Il dédiera la plupart de ses livres à son frère et cette disparition annonce la fin de l'enfance de l'auteur. En septembre de 1960 à 1962, il fréquente le collège Saint-Joseph à Thônes (Haute-Savoie), puis le lycée Henri-IV (Paris) où il commence à rédiger ses premiers essais littéraires.
[...] II) Résumé
Une vieille photo retrouvée fait resurgir dans la mémoire du narrateur le souvenir d'un photographe talentueux et étrange, Francis Jansen, rencontré une trentaine d'années auparavant. Il raconte cette rencontre qui le hante...
En 1964, le narrateur, un parisien de 19 ans accompagnés d'une amie de son âge, fit la connaissance d'un photographe, Francis Jansen. Cette rencontre hasardeuse et surprenante eut lieu dans un café de la place Denfert-Rochereau. Dans un premier temps, Jansen leur proposa de les prendre en photo comme modèles, puis le narrateur proposa et prît l'initiative de classer et répertorier le contenu des trois valises de photos qui représentent de nombreux souvenirs de Jansen. Il prenait également plaisir à retranscrire ces photos sous forme de textes. Francis Jansen semblait à la fois indifférent, absent et étrange, néanmoins cet homme hantait le jeune auteur. (...)
[...] Un soir, le narrateur la raccompagna chez elle et fût témoin de Nicole se faisant battre par son mari. Ensuite, Jensen, toujours en compagnie de son chien, décida de partir au Mexique et organisa une soirée pour son pot d'adieu où étaient réunis les Meyendorff, Jacques Besse et Eugène Decker. Quelques années plus tard, l'auteur, toujours hanté par Jansen, décida de se rendre chez les Meyendorff pour obtenir des informations, cependant le lieu n'était plus habité. A la fin, le narrateur est troublé et se perd dans ses pensées, il se rend compte que Jansen était en quelque sorte un double, comme un alter-égo. [...]
[...] Patrick Modiano grandit entre Jouy-en-Josas et la Haute-Savoie. Ses parents étaient souvent absents et sa scolarité passée en pension le rapproche de son frère aîné Rudy, qui meurt d'une maladie à 10 ans en 1957. Il dédiera la plupart de ses livres à son frère et cette disparition annonce la fin de l'enfance de l'auteur. En septembre de 1960 à 1962, il fréquente le collège Saint-Joseph à Thônes (Haute-Savoie), puis le lycée Henri-IV (Paris) où il commence à rédiger ses premiers essais littéraires. [...]
[...] En outre, Jansen est un personnage qui limite le champ de ses relations car il vécut une cassure dans sa vie depuis la mort de son ami Robert Capa, un autre photographe qu'il considèrait comme son frère cadet ou son double et celle de Colette Laurent. Au fil du temps, Jansen était de moins en moins souvent à l'atelier. Il avait même prît une chambre d'hotel du boulevard raspail afin de s'isoler et d'éviter d'être déranger. Jansen devenait de plus en plus distant avec les êtres et les choses. [...]
[...] Patrick Modiano est l'auteur de plus d'une trentaine de romans, dont ‘Chien de printemps' et qui a été récompensé de nombreuses fois. II) Résumé Une vieille photo retrouvée fait resurgir dans la mémoire du narrateur le souvenir d'un photographe talentueux et étrange, Francis Jansen, rencontré une trentaine d'années auparavant. Il raconte cette rencontre qui le hante En 1964, le narrateur, un parisien de 19 ans accompagnés d'une amie de son âge, fit la connaissance d'un photographe, Francis Jansen. Cette rencontre hasardeuse et surprenante eut lieu dans un café de la place Denfert- Rochereau. [...]
[...] Je m'attendais vraiment à ce qu'il se passe un évènement important à la fin du roman, comme par exemple d'éventuelles retrouvailles entre Francis Jansen et le narrateur. De plus, les discours au présent et les retours en arrière prêtent parfois à confusion. J'ai eu parfois du mal à m'y retrouver et à savoir si l'auteur évoquait le passé ou le présent. Néanmoins n'étant pas une adepte de la lecture, j'ai quand même étonnement aimé ce roman. Chien de printemps est un livre court, simple et facile à comprendre. [...]
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