L'auteur va nous parler de sa propre histoire durant le récit, c'est donc de lui dont il parle quand il était encore qu'enfant. Marcel Pagnol est donc né à Aubagne, ses aïeux étant Espagnols, leurs métiers étaient liés à l'acier, à la poudre puis au carton. Son grand-père, lui, n'a pu hériter de la cartonnerie familiale et est donc devenu tailleur de pierre. Marcel Pagnol nous parle de ce grand-père qui racontait de belles histoires et aimait à manger en famille en regardant le Pont du Gard, oeuvre qu'il admirait plus que tout. Son grand-père, qui avait (...)
[...] Une petite sœur est née entre temps, ce qui pousse Marcel à se demander comment celle-ci a bien pu arriver. Apparemment, la thèse d'un de ses camarades de classe, Mangiapan, selon laquelle le bébé sortirait du nombril de sa mère apparaît plausible C'est maintenant au tour de Rose d'attendre un enfant, Marcel apprend qu'il sera un vieux bébé, peut-être avec une barbe et une histoire à raconter ? Marcel fut bien déçu lorsqu'il découvrit la réalité Chapitre X : Au mois d'Avril, Joseph apprend à la famille Pagnol qu'ils vont passer leurs vacances dans une villa au bord d'un désert de garrigue. [...]
[...] Marcel approche donc maintenant de cette fameuse plaine Chapitre XXX : Marcel se réconforte et trouve un petit refuge jusqu'à entendre deux détonations, voir un bel oiseau tombé en face de lui et sentir quelque chose lui tomber dessus. Ce dernier touche sa tête et voit du sang sur sa main, mais il se rendit très vite compte qu'il s'agissait du sang de ses deux perdrix. Ces deux perdrix qui se révélèrent être des fameuses bartavelles. Marcel s'empressa de voir en bas de la plaine qui était ces chasseurs qui allaient lui sauver la vie. [...]
[...] Un jour, Joseph avait écrit la phrase suivante au tableau : La maman a puni son petit garçon qui n'était pas sage Répliqua ensuite Marcel qui niait cette odieuse affirmation, stupéfait mais aussi très fier Joseph fit relire son fils et appela ses collègues Ce n'était par contre pas du goût d'Augustine qui avait peur pour son fils, Marcel ne lut donc plus de livre les deux années qui suivirent. Chapitre VI : De Saint-Loup, le père de Marcel Pagnol fut nommé à l'Ecole du Chemin des Chartreux. Joseph en était fier, tout comme Augustine car cela était une belle promotion qui le destinait à un futur de directeur d'école. Marcel Pagnol parle ensuite de son petit frère, Paul, qui ressemblait beaucoup à ce fameux grand-père mort à Rio de Janeiro, il avait comme lui les cheveux blonds et les yeux bleus. [...]
[...] Chapitre IV : Marcel Pagnol essaie de nous parler des souvenirs qu'il a d'Aubagne, ville dans laquelle il ne vécut que trois années. Il se souvient de son oncle Henri qui le lançait en l'air petit, sa mère priant son frère d'arrêter. Cet oncle qui avait trente ans, était le fils d'un pur Normand né à Coutances qui avait rencontré sa femme Marseillaise et décida donc d'y rester. Ce grand-père que Marcel ne put voir mourut à l'âge de 24 ans à Rio de Janeiro de la fièvre jaune. [...]
[...] Marcel décida de prendre les deux gibiers et de montrer la gloire de son père du haut de la plaine. Chapitre XXXI : Le petit Marcel descendit la plaine et alla voir l'oncle Jules et Joseph pour leur raconter son aventure. Mais ces derniers étaient bien trop occupés à savourer la prise d'un tel gibier, ce qui contenta tout à fait Marcel qui était si fier de son père et si heureux de les avoir retrouvés à temps. Les voilà donc arrivés à la maison, tour à tour chantant les louanges de l'autre. [...]
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