Quand on parle de l'instruction des femmes on parle inévitablement du 20ème siècle où sont apparues toutes les transformations. Les étudiantes sont passées de 624 en 1900 à 520 000 en 1990. « La progression des scolarités féminines est passée presque inaperçue. » p.11. Pourtant cette progression met l'accent sur un essor féminin ancien et régulier par rapport aux effectifs masculins et aussi on remarque qu'à chaque étape de la scolarité (école primaire, collège et lycée), elles agissent différemment des hommes en évitant les chemins sinueux comme le redoublement. En outre, en plus de l'acquisition d'un diplôme elles obtiennent un emploi même avec l'essor du chômage. Est-ce que cette évolution met fin aux relations hommes, femmes de l'ancien temps ? Est-ce pour cela que les institutions et les entreprises vont se transformer ?
[...] On peut parler de nature littéraire pour les filles. Il est plus juste d'imaginer qu'il existe des éléments dans la condition des filles qui les prédisposent à s'intéresser davantage à ce que représente le français. p.99. Les filles l'emportent sur des exercices où les exigences de réécriture sont imposées, ainsi que sur l'orthographe comme savoir retrouver un mot dans un dictionnaire et en maîtriser le sens p.104 et la conjugaison conjuguer des verbes p au détriment des garçons. Mais il y a des exercices qui ne clivent pas, dans l'ensemble, les hommes et les femmes sont égaux devant des exercices devant la recherche du sens. [...]
[...] Une autre réflexion nous survient sur le fait que les sociologues se sont d'une certaine façon mis du côté des filles et donc on tout expliquer en plus large pour elles. Alors cette implication n'a pas guidé leurs idées ou interrogations que vers une voie ? Celle des filles ? Conclusion Les filles ont manifestement évolué durant ce siècle grâce à elles dans un premier temps mais aussi grâce à d'autres évolutions comme l'école, l'économie etc. Ce qui leur a permis d'arriver aujourd'hui à échelonner les hommes dans certains domaines. [...]
[...] Et enfin, les U.S.A. note de grosses inégalités entre les domaines des hommes et des femmes comme les autre pays mais ils dérivent car dans certaines filières les femmes ont nettement dépassées les hommes. Pour conclure, plus les femmes ont l'accès au bac, plus elles vont s'étendre dans toutes les filières. Mais les garçons en voyant cela renforcent leur position dans leur filière Mixité des structures, sexisme des mentalités. Les deux sociologues se sont demandés si les idées et les comportements ont suivi les transformations institutionnelles ? [...]
[...] On a beaucoup parlé des stéréotypes, or il ne faut pas croire que tout le monde est comme ça que cela soit pour les femmes ou les hommes. Il ne faut pas croire non plus qu'il n'y ait pas eu d'évolution chez les filles ou que les garçons sont les plus forts partout. Le contraire existe. Cependant l'inégalité hommes et femmes est bien là encore par les institutions envers les maths par exemple. La filière S forme l'élite scolaire car cette filière amène jusqu'au bac mais aussi se poursuit ensuite dans les grandes écoles. [...]
[...] Les élèves issus souvent de milieu ouvrier expriment une tradition de leur origine sociale, où les femmes sont à la maison et les hommes ramènent l'argent. Dans ce milieu ouvrier, le travail à une grande place surtout ce lui de l'homme (comme son travail est dur tout doit être fait quand il arrive à la maison Les stéréotypes des femmes et des hommes remontent à loin et encore aujourd'hui la gérance de l'économie est vue de deux façons. L'une et gérée par la femme pour l'économie de la maison et l'autre par l'homme dans le monde. [...]
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