Le feu, Henry Barbusse, guerre mondiale, poilus, tranché, Breton, Cendrars, Giono, Barbusse, écrivains à la guerre, Première Guerre mondiale
Les Poilus sont les héros méconnus de la ‘‘ Der des Der '', de la Première Guerre mondiale. Il y a 450 écrivains qui y ont participé, les survivants vont donc raconter cette guerre ( Breton, Cendrars, Giono, Barbusse). Cette génération sera marquée à vie.
Le roman obtient le prix Goncourt pendant la guerre, il dénonce les atrocités commises au front. C'est l'un des premiers témoignages littéraires qui racontent la réalité de la vie de soldat.
Cet extrait se situe à la fin du livre, les camarades du narrateur sont presque tous morts.
Barbusse est quelqu'un qui condamne la violence.
Dans un premier temps, je parlerais du décor puis des témoins et enfin de l'absurde présenté dans cet extrait.
[...] Ensuite on parle de morts anonymes « un cadavre »(l.8), « cette dépouille » (l.10) et « un soldat » (l.16). Puis il est question de morts identifiés « Poterloo » (l.19), « Biquet » (l.29) et « la vieille paysanne » (l.43). Dans cette mêlée guerrière, on ne distingue plus le survivant de la victime, ni le vaincu des vainqueurs car il règne une confusion étrange et absurde. III/ L'absurdité Il y a un sentiment de désespoir face à cette réalité transformée. Les sentiments sont exprimés par des images afin de communiquer la douleur ressentie. [...]
[...] La terre représente les tranchées « terrain » (l.11) et « boue » (l.12), l'eau correspond à la mort « eau vaseuse » (l.8) et « pluie » (l.32), le feu représente les explosions « la flamme des obus » (l.20) et l'air le désastre « la tempête » (l.44). Le décor est le reflet de la guerre où la réalité y est transformée. Ce texte aborde le thème de la métamorphose et de la décomposition du monde. II/ Les témoins Il y a une question de l'identité ( Qui vit ? Qui voit la scène?), la réponse est triple et on y répond grammaticalement. [...]
[...] La lettre nous montre un décalage mais aussi l'ironie du destin. Il y a un bref dialogue et un retour en arrière, la chronologie superpose deux épisodes vécus, cet écart montre l'absurdité cruel des événements « Biquet réduit à l'état de cendre liquide » (l.44). Il y a de la tendresse filiale « ma chère maman » (l.33) montre que la guerre n'autorise pas les sentiments, elle les refoule. Conclusion Barbusse est le premier écrivain à écrire un livre sur la guerre de 14-18, à laquelle il survit. [...]
[...] Le feu, Henry Barbusse Introduction : Les Poilus sont les héros méconnus de la ‘‘ Der des Der '', de la Première Guerre Mondiale. Il y a 450 écrivains qui y ont participés, les survivants vont donc raconter cette guerre ( Breton, Cendrars, Giono, Barbusse) Cette génération sera marquée à vie. Le roman obtient le prix Goncourt pendant la guerre, il dénonce les atrocités commises au front. C'est l'un des premiers témoignage littéraire qui raconte la réalité de la vie de soldat. [...]
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