Les femmes savantes, Molière, Henriette, Clitandre, comédie de moeurs, Trissotin
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière est un auteur et un acteur français théâtre du XVIIème siècle.
Il a écrit de nombreuses pièces telles que les fourberies de Scapin, l'avare ou les femmes savantes.
Les femmes savantes est une comédie de mœurs de 5 actes. Elle raconte l'histoire d'amour d'Henriette et de Clitandre qui vont devoir obtenir l'accord de la famille de celle-ci pour se marier. Si son père et son oncle la soutiennent dans ce projet, sa mère toute dévouée aux choses de l'esprit, sa tante et sa sœur désirent lui donner pour époux un pseudo savant désargenté, Trissotin. Cependant ce dernier se joue des trois femmes.
[...] En apprenant cela, Trissotin que seul l'argent intéresse, renonce au mariage : «Non, madame, cessez de presser cette affaire » Il avoue ainsi qu'il ne s'intéresse qu'à la dot d'Henriette. Il tombe alors en disgrâce auprès de Philaminte. Celle-ci accepte enfin le mariage d'Henriette et de Clitandre : Oui, j'accorde Henriette à l'ardeur empressée » Pendant cela, Ariste annonce qu'il ne s'agissait là que d'une ruse : « Je ne vous ai porté que de fausses nouvelles » Clitandre, lui révèle toute sa générosité. Non seulement, il veut toujours épouser Henriette mais il offre également sa fortune à la famille d'Henriette. [...]
[...] Les femmes savantes est une comédie de mœurs de 5 actes. Elle raconte l'histoire d'amour d'Henriette et de Clitandre qui vont devoir obtenir l'accord de la famille de celle-ci pour se marier. Si son père et son oncle la soutiennent dans ce projet, sa mère toute dévouée aux choses de l'esprit, sa tante et sa sœur désirent lui donner pour époux un pseudo savant désargenté, Trissotin. Cependant ce dernier se joue des 3 femmes. Les obstacles au mariage d'Henriette sont multiples. [...]
[...] Elle préfère les choses de l'esprit : -« Et de vous marier vous osez faire fête ? Ce vulgaire dessein vous peut monter en tête Armande est d'autant plus mécontente lorsqu'elle apprend que sa sœur souhaite se marier avec Clitandre, l'homme qui l'aimait. Puis, Philaminte, qui est la mère des 2 jeunes filles et qui dirige la maison, veut marier sa fille cadette à un faux savant, Trissotin puisqu'elle préfère, elle aussi, les choses de l'esprit. La tante d'Henriette, Bélise, dont Clitandre a tenté en vain d'obtenir le soutien, pense également que Trissotin ferait un merveilleux gendre. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture