Guy Montag est un pompier chargé de détruire, dans un état totalitaire pendant la guerre froide, toutes les œuvres littéraires, celles-ci étant devenues interdites. Un soir, il parle avec une de ces voisines, Clarisse une fille qui se considère comme folle. Ses propos donnent l'impression que c'est le monde à l'envers, celle-ci évoque le monde que nous connaissons aujourd'hui avec des pompiers qui nous sauvent des flammes, qui éteignent le feu et Guy Montag donne l'aspect contraire. Ces propos quant à la destruction des œuvres, lui font ouvrir les yeux sur une certaine passivité qui l'a jusqu'à aujourd'hui habité.
Il rentre chez lui dans l'obscurité et retrouve sa femme immobile, il appelle les secours, deux hommes s'occupent de sa femme mais Montag n'est toujours pas rassuré, il ne connait pas ces gens qui ne sont pas médecins. Il n'est que deux heures du matin, cela fait une heure qu'il a dit au revoir à Clarisse.
[...] Un soir Clarisse lui demande pourquoi il n'a pas d'enfants, il lui explique que sa femme ne veut pas, Clarisse se sent idiote. Ensuite comme Montag lui a posé la question, elle lui explique pourquoi elle n'est jamais à l'école: elle est soi-disant insociable. Elle a aussi peur des gens, car ils s'entre-tuent. Elle observe les gens et trouve le monde monotone, bizarre, sans réel intérêt "Les gens ne parlent de rien." Un jour, il se rend compte que Clarisse a disparu, ça fait 7 jours qu'il ne l'a pas vu. [...]
[...] Avis personnel Fahrenheit 451 est un livre intéressant qui invite à faire réfléchir sur le monde. Le livre est un symbole de liberté et d'expression. Le héros se bat jusqu'au bout pour faire ce qu'il a envie, c'est-à-dire braver l'interdit et lire les livres par curiosité et ensuite par passion. C'est non seulement un livre de science-fiction, mais c'est aussi un avertissement, en temps de guerre froide le gouvernement essayait sûrement d'endoctriner les gens, de supprimer tout ce qui les amenait à réfléchir et donc à se révolter. [...]
[...] La sonnerie d'alerte sonne, les pompiers partent et s'arrêtent à un certain endroit, le capitaine qui connaissait le lieu où il fallait se rendre faisait comme si de rien n'était et il demande à Montag qui a l'air bizarre, comment il se sent, et pour cause, le camion s'est arrêté devant chez lui. Troisième partie Montag se retrouve dans une situation difficile. Le capitaine Beatty toujours en train de parler, fait référence à Icare en parlant de Montag : Notre bon vieux Montag a voulu voler près du soleil et maintenant qu'il s'est brûlé les ailes, il se demande comment c'est arrivé. [...]
[...] Fahrenheit 451 : température à laquelle le papier s'enflamme et se consume, Bradbury Première Partie Guy Montag est un pompier chargé de détruire, dans un état totalitaire pendant la guerre froide, toutes les œuvres littéraires, celles-ci étant devenues interdites. Un soir, il parle avec une de ces voisines, Clarisse une fille qui se considère comme folle. Ses propos donnent l'impression que c'est le monde à l'envers, celle-ci évoque le monde que nous connaissons aujourd'hui avec des pompiers qui nous sauvent des flammes, qui éteignent le feu et Guy Montag donne l'aspect contraire. [...]
[...] Montag, hors de lui, prend le lance-flammes et actionne celui-ci en direction du capitaine, le meurtre est commis. Après avoir assommé les deux autres pompiers, il décide de prendre la fuite, mais le Limier-robot était là. Le Limier réussit à le blesser à la jambe avant que Montag s'empare du lance-flammes et en finisse avec lui. Il choisit donc de fuir, juste avant il va aller récupérer 4 livres près de la clôture de son jardin. Pendant la fuite, il s'arrête à une station essence pour se débarbouiller, s'essuyer le visage histoire de paraître plus naturel. [...]
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