Guy Montag, casque numéroté 451, aborde un sourire féroce de tous les hommes roussis et repoussé par les flammes et il sait que ce sourire ne le quittera jamais. Il accroche son casque noir, suspend son blouson et se douche. Il sort de la caserne et part en direction du métro. Comme chaque fois qu'il passe par ici, à l'endroit où l'angle tourne, il ressent un souffle, une présence mais il ne voit rien. Mais cette fois il ralentit et s'arrête (...)
[...] Il veut brûler toutes les casernes de pompier. Faber trouve ce plan astucieux, mais ils ne sont pas assez nombreux. Faber a quelques amis mais pas assez pour faire cela. Montag pour arriver à ces fins, commencent à déchirer le livre ce qui fonctionne. Il doit apporter de l'argent le lendemain et Faber ira le faire photocopier chez un ancien étudiant. Faber décide avant que Montag ne parte de lui montrer sa pièce secrète. Il lui passe une sorte de Coquillage radio, qui leur permettra de pouvoir communiquer entre eux. [...]
[...] Il demanda si avant les pompiers ne faisaient pas le contraire de maintenant. Mais Beatty, lui assura que non en lui faisant lire un passage : Fondé en 1790, pour brûler les livres et le premier pompier était Benjamin Franklin. Sa sonnerie retentie et il partie en oubliant son casque. Ils allèrent brûler les livres appartenant à Mme Blake qui se fit brûler avec ses livres. Montag voulut la faire sortir mais ne réussit pas. Il pris un livre au passage sans vraiment le faire exprès. [...]
[...] Il crie à Clarisse, à Faber et à Mildred de se sauver mais Clarisse est morte et Faber en train de quitter la ville. Il crie alors de nouveau à Mildred de s'en aller. Il se souvient qu'ils se sont rencontrés il y a longtemps à Chicago. La bombe explosa, il se souvient aussi du livre Ecclésiastique et il se le répète allongé par terre. Il veut voir du monde et tout apprendre, tout savoir. Il se redresse, il ne reste plus rien de la ville. Ils allumèrent un feu et mangèrent. Ils regagnent la ville. [...]
[...] Il y a un nouveau Limier Robot. Montag décide de partir. Il demande à Faber de lui donner des vêtements et lui conseil de tout nettoyer pour que l'on ne sache pas qu'il est venu jusqu'ici. Ils se dirent au revoir et Montag part en direction du fleuve. Il se mit à courir et en passant devant les maisons, il s'arrête pour regarder les écrans, et apprend ainsi que le Limier approche de la maison de Faber. Les hélicoptères se rapprochent. [...]
[...] Ils décident d'attendre que la guerre éclate et soit fini pour pouvoir sortir de leur cachette. Ils transmettrons ainsi leur connaissance à leurs enfants et ainsi de suite. Ils sont en tous des milliers sur les routes. Ils vont se déplacer avant la nuit. Ils éteignent le feu ensemble. Il est cinq heures et demie. Il essaya de voir un sourire sur le visage d'une personne mais ils avaient l'air triste. Il pense à sa femme mais ne ressent aucune tristesse. Granger lui explique l'histoire avec son grand père. La guerre commença. [...]
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