L'élément modificateur est marqué par le début de l'enquête.
Idelsbad, un agent civil d'une cinquantaine d'années, arrive chez Van Eyck un dimanche. Il prétend être envoyé par le bailli de Meunikenrede pour s'entretenir avec Van Eyck à propos du meurtre qui a eu lieu l'avant-veille. La famille de Nicolas Sluter, la victime, entretient des relations privilégiées avec Le Bailli et veut comprendre ce qui s'est passé. Idelsbad a eu l'autorisation d'enquêter sur place. Pour lui, cette affaire concerne Van Eyck, car il s'agissait d'un de ses apprentis il y a quinze ans, tout comme les morts de Tournai et d'Anvers, Willemarck et Wauters.
[...] Après avoir quitté la cathédrale, la marche de Jan et Idelsbad les conduisit devant la bottega. Jan fit connaissance avec le jeune peintre qui se trouvait derrière la fenêtre. Il s'appelait Antonello da Messina. En voyant A.M. en bas à droite de la toile dessinée par l'enfant peintre, Jan comprit que la miniature vénitienne qu'il aimait tant avait été faite par celui-ci. Jan resta avec Antonello, pour partager un langage connu d'eux seuls. Antonello da Messina utilisait la technique de Van Eyck. Ch. [...]
[...] "L'enfant de Bruges" de Gilbert Sinoué Situation initiale La situation initiale se déroule en deux lieux différents, mais le même jour. Ch. I et II. Élément modificateur Qui ? Quand ? Où ? Quoi ? L'élément modificateur est marqué par le début de l'enquête. Idelsbad, un agent civil d'une cinquantaine d'années, arrive chez Van Eyck un dimanche. Il prétend être envoyé par le bailli de Meunikenrede pour s'entretenir avec Van Eyck à propos du meurtre qui a eu lieu l'avant- veille. [...]
[...] La cathédrale était à moitié vide. Lorsque le célébrant rompit le pain et porta une parcelle à sa bouche et que la distribution de la communion allait commencer, le visage de Jan fut soumis à une tension extrême. Au moment où le Cosme de Médicis s'apprêtait à accueillir le Saint Sacrement, un hurlement résonna, c'était celui de Jan. Il courut vers le Médicis et lui expliqua que les hosties étaient empoisonnées et que le mal de Fiesole, sur l'Oltrano, provenait du pain, car on y avait mis de l'ergot de seigle. [...]
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