L'histoire débute très tôt le matin dans le périphérique de Paris, des gens en charrette qui transportent des légumes et qui viennent de Nanterre se suivent. Celle qui est en tête est tirée par Balthazar, le cheval de Mme François, quand celui-la s'arrête. Il y a à terre un homme qui est allongé de tout son long. Mme François le réveille, elle le prend pour un alcoolique avant qu'elle voit sa taille mince. Elle apprend que le jeune homme s'appelle Florent et qu'il doit aller à Paris dans les Halles mais qu'il est extrêmement fatigué, elle le couche donc dans ses légumes le temps d'arriver dans le lieu commun. Elle lui demande de l'aider a décharger sa cargaison. Nous arrivons dans les pensées du jeune homme qui en cherchant où il se trouve dans Paris remémore ses souvenirs. On apprend donc qu'il a été arrêté par erreur à la suite du coup d'État du 2 décembre 1851, et chassé de Paris, mais une image le poursuit, celle d'un jeune femme tombée sur lui morte. Il est déporté au bagne de Cayenne en Guyane, il s'en est évadé et revient à Paris en 1858 (...)
[...] Il est toujours surveillé par Mlle Saget. Son travail se passe de plus en plus mal, la belle Normande veut lui faire payer ce que Lisa lui a fait et ce n'est que moqueries et farces qu'elle et les autres marchandes lui font sauf Claire la jeune sœur de Louise la normande. Un jour une grosse bagarre éclate a la poissonnerie, Florent se fait tellement strict qu'il fait une mise à pied de 8 jours à la Normande. Folle de rage elle veut sa vengeance. [...]
[...] Il l'avait sentie à ses chevilles, puis à son ventre ; elle menaçait, à cette heure, de passer par-dessus sa tête. Aveuglé, noyé, [ ] et une douleur folle le prit, de mourir de faim, dans Pairs gorgé, dans ce réveil fulgurant des Halles p.72 Il se met a suivre deux femmes dont une que le peintre avait parler, il entend qu'elle parle de son beau-frère et Florent le connaît, un certains Gavard, il l'emmène à un boucherie, la une femme est sur le rebord de la porte, Gavard explique à Florent que c'est sa belle-sœur. [...]
[...] Florent emmène son frère dans les soirée chez M. Lebigre mais la vieille les surveille toujours, elle entent M. Quenu dire du mal de l'Empire et le dit à Lisa pour lui faire peur, car qui en dit du mal peut subir des conséquences. Lisa mais les choses au claire avec Quenu pour qu'il ne soit plus question de politique, de plus elle prévient de ses intentions d'écarter Florent de leur vie s'il ne se calme pas : On apprend l'enfance de Marjolin, qui fut trouver sur un tas de chou et qui fut adopté par toutes marchandes des Halles et celle de Cadine que sa mère abandonna et qui fut recueilli pas la mère Chantemesse. [...]
[...] Gavard surprend la vieille a acheter des reste de plans provenant des Tuileries. Il fait colporter cette informations sur cette espionne, du fait que les marchandes ne veulent plus discuter avec elle, elle se retrouve donc à court de potins. Mais le plans de la bandes se fait de plus en plus concret, des personnes sont recrutés. Seulement Charvet n'est pas d'accord avec ce qui se passe, il ne trouve pas ça normal que tout le monde soit à l'écoute de Florent alors que selon lui, il ne connaît rien à la politique, il pense que leur plan ne peut que tourner à l'échec et décide de quitter le groupe avec sa femme. [...]
[...] Bien entendu il se fait arrêté, il trouve sur lui son revolver et des cartouches. Quand ils le sortent pour le mettre dans le fiacre, la Sarriette se jette affolée sur lui, il lui donne la clés de son appartement et lui dit de prendre tout son or et de brûler les papiers compromettant. Mme Lecœur le voit et dit à sa jeune nièce d'être gentille avec elle sinon elle irait la dénoncer. Les 3 dams s'en vont donc à l'appartement de Gavard, se font ouvrir la porte par la portière qui apprend ce qui s'est passé. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture