Chapitre un
L'histoire débute un soir de pluie d'été dans la capitale française. Un jeune homme rentre chez lui, quand il aperçoit sous le porche de son immeuble une jeune femme qui semble perdue et désorientée. Il lui propose de l'héberger pour la nuit vu le violent orage qui s'abat sur la ville. Ils font connaissance. Lui se prénomme Claude, c'est un peintre, et elle, Christine, en provenance de Clermont-Ferrand, venue dans la capitale pour entrer dans le service d'une vieille dame vivant à Passy. Le lendemain matin, le peintre pris d'admiration devant la beauté de son hôte va vouloir la prendre comme modèle pour sa prochaine toile. Elle va dans un premier temps protester par pudeur et timidité, puis finira par céder devant l'insistance du peintre et dans un devoir de reconnaissance pour celui qui lui a évité de dormir dehors. Durant cette rencontre, les deux jeunes gens demeurent très timides, s'adressant rarement la parole, et se quittent froidement sans savoir s'ils se reverront un jour.
Chapitre deux
Claude retrouve dans la capitale ses deux meilleurs amis d'enfance que sont Sandoz, écrivain, et Dubuche, architecte. Il les reçoit dans son atelier mais ne leur avoue pas sa rencontre de la veille avec Christine par pudeur et timidité. Tous les trois restent chez le peintre toute la journée, qui ne souhaite pas cesser de travailler sur son tableau qu'il souhaite faire parvenir au salon officiel annuel de l'empire. Après de longues heures de travail, et face à l'insistance de ces deux amis, Claude sortira et laissera sa toile inachevée. Durant cet après-midi là, Sandoz et Claude se remémorent leurs souvenirs de jeunesse dans le midi. Quant à Dubuche, il semble s'éloigner de ces deux compères, notamment face à sa vision de l'art qui diffère de ces amis. Le peintre et l'écrivain sont de plus en plus réformistes et révolutionnaires contrairement à leur ami architecte, plus conforme dans ses convictions. (...)
[...] En effet, suite à cela, va se poursuivre des rencontres régulières entre les deux amis. Des entrevues qui resteront pleinement platoniques. Christine contera à Claude sa jeunesse à Clermont Ferrand, avec entre autre, le décès de sa mère, et son séjour dans un couvent qui ne fut pas une réussite, religieusement parlant. De son côté, Claude initiera Christine à son amour pour la peinture. Visiblement peu intéressée sur le sujet au départ, elle finira par se passionner pour cet art. [...]
[...] Chapitre sept Dès son retour, le ménage s'installe dans un appartement situé à Montmartre, lieu de résidence de nombreux artistes à cette époque. Claude part tout de suite à la rencontre de ces vieux amis. Il y rencontre tout d'abord ces anciens camarades Mahoudeau et Chaine. Ces derniers ne s'adressent plus la parole suite à une querelle concernant le partage de leur voisine herboriste, Mathilde. En sortant Claude aperçoit Jory qui lui aussi cherche l'herboriste. Jory propose à Claude de déjeune chez Irma Bécot. Claude refuse énergiquement, mais sous l'insistance de son ami il finira par accepter. [...]
[...] Il à du mal à trouver la nouvelle adresse de son nouvel ami car il à déménager et vie maintenant avec sa femme et sa mère. Dès son arrivée Sandoz présente sa femme à Claude. L'écrivain est quelques peu déstabilisé par les critiques qu'il reçoit lors de la parution de son livre. Par la suite d'autres invités rejoignent les deux amis, notamment Fagerolles qui devient critiqué par ces amis par son embourgeoisement artistique. La discussion va vite tourner sur ce sujet. [...]
[...] Il lui fait promettre de revenir le voir avec son ami Sandoz. Peu après Sandoz se rend chez son ami pour prendre de ses nouvelles. Celui-ci lui donne des nouvelles de ces anciens camarades parisiens. Quand à lui, il est sur le point de se marier et travaille comme journaliste. Il lui expose également son projet littéraire. Celui de décrire les membres d'une famille dans un cadre temporel bien précis, sous forme d'une quinzaine ou une vingtaine de livres distinct les uns des autres. [...]
[...] En voyant l'œuvre de Claude il lui promit que celle-ci serait acceptée cette année. Il l'invita également à visiter son luxueux hôtel, lui qui a fait fortune en vendant ces toiles aux étrangers. Claude observa un sentiment mitigé concernant l'aide apportée par Fagerolles sur la publication de son œuvre lors du salon. Néanmoins, Fagerolles va tenir promesse, puisque l'enfant mort de Claude sera finalement accepter, non sans mal. En effet, les membres du jury vont se montrer farouchement opposés à l'introduction de l'enfant mort dans le salon officiel. [...]
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