Boris Vian, célèbre écrivain du 20ème siècle, est l'auteur de l'oeuvre L'écume des jours, publiée en 1947. Je vais parler de la maladie de Chloé dans ce roman.
Dans un premier temps, nous allons voir de quelle façon commence la maladie de Chloé, et dans un second temps, nous pourrons constater de quelle manière se dégrade la santé de cette dernière (...)
[...] ( 21.2 ) - Il fait moins clair qu'avant, ici (chapitre 41, p. 215) 22 - En passant dans le couloir, Nicolas s'arrêta. Les soleils entraient décidément mal. Les carreaux de céramique jaune paraissent ternis et voilés d'une légère brume ( . ) Les murs, pommelés de soleil, ne brillaient plus uniformément, comme avant. Les souris ne paraissaient pas spécialement gênées par ce changement, sauf la grise à moustaches noires dont l'air profondément ennuyée frappait dès l'abord. (chapitre 29, p. [...]
[...] Les parois de la cabine se resserraient et il sortit avant d'être broyé. (chapitre 31, p & 170) 15 - Chloé sentait une force opaque dans son corp, dans son thorax, une présence opposée, elle ne savait comment lutter, elle toussait de temps en temps pour déplacer l'adversaire, accroché à sa chair profonde. Il parlait de très loin, il avait très mauvaise mine. Son cœur tenait toute la place dans sa poitrine, il ne s'en rendait compte que maintenant (chapitre 32, p & 174) 16 arrivée des docteurs Nicolas alla ouvrir. [...]
[...] ) il chercha sur la liste le nom suivant, et vit que c'était le sien. Alors, il jeta sa casquette et il marcha dans la rue, et son cœur se fit de plomb, car le lendemain, Chloé serait morte. (chapitre 63, p & 320) 31 - - Chloé est morte, dit Colin. (chapitre 64, p. 321) 32 - Elle était sombre et transparente ; Colin se pencha à droite, il regarda vers le fond, il croyait voir une chose blanche remuer vaguement dans la profondeur ; Nicolas et Isis s'arrêtèrent derrière lui, ils étaient comme debout sur l'eau. [...]
[...] En effet, un nénuphar a poussé dans le poumon de Chloé. Pour combattre le parasite, le médecin a prescrit des fleurs autour d'elle. Elles entourent la malade et donnent leur vie pour lutter contre la plante capable de se développer dans le corps humain : les fleurs frissonnent autour du lit, elles ne résistent pas longtemps, elles tombent en fine poussière tandis que Chloé s'éteint et ne parle plus qu'avec les paupières. ( 30 ) Colin remue ciel et terre pour la soigner, allant même jusqu'à travailler, mais il ne peut la sauver et finit par se suicider ( 31 32 - 33 ) . [...]
[...] Je vais parler de la maladie de Chloé dans ce roman. Dans un premier temps, nous allons voir de quelle façon commence la maladie de Chloé, et dans un second temps, nous pourrons constater de quelle manière se dégrade la santé de cette dernière. Premièrement, nous allons voir le commencement de la maladie de Chloé en découvrant tout d'abord son origine. Dans le roman, les fleurs sont les seuls éléments bivalents : souvent blanches, elles détruisent la vie, mais sont aussi capables de la sauver. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture