Le narrateur de ce roman est une personne externe à l'action, indépendant de la situation d'énonciation et n'est donc pas présent dans le livre. Il est plutôt spectateur qu'acteur et narre les évènements comme ils se sont déroulés, avec beaucoup de précisions pour mieux mettre le lecteur dans une ambiance des plus véridiques (...)
[...] Il se remet totalement en question et craque, mais uniquement quand personne ne peut le voir, car il remet la faute sur lui et sur lui seul. Ces quelques phrases montrent la psychologie du personnage, très affaiblie pour le moment par tout ce à quoi il a dû faire face. [...]
[...] Après s'être réconciliés, les deux amis se jurent une amitié éternelle. Pourtant, pendant la nuit, quelque chose le réveille, un cri, un étrange toussotement. Il se lève et se dirige vers la fenêtre, surpris par le froid; il a très peur et se demande si quelqu'un est blessé. L'homme donne plusieurs coups de couteau, espérant qu'au moins l'un d'eux est mortel. Il voit de la lumière et un gamin sur le balcon. Aussitôt, il se cache derrière un pilier entraînant avec lui le corps inerte de Christian FRANVAL, un banquier. [...]
[...] En effet, la première de couverture est partagée en deux zones verticales égales, l'une blanche et l'autre noire, ce qui montre, d'un côté, la naïveté du jeune garçon, et de l'autre, la cruauté dont l'adulte peut faire preuve. Le titre, la collection et le nom de l'auteur sont situés en haut de la première de couverture. Je pense que cette couverture a bien été choisie puisqu'elle illustre correctement l'intrigue de l'histoire et les sentiments qu'ont éprouvé les personnages. Elle a un aspect incitatif pour le lecteur qui, par curiosité, est attiré par l'envie de découvrir les mystères que cache cette couverture. [...]
[...] Ce récit est juste raconté à l'imparfait, mais ne fait pas référence à une époque de longue date révolue. * Le protagoniste de l'histoire est Daniel VARGAS, un jeune adolescent de 11 ans, qui s'est brûlé les yeux en skiant dans une colonie de vacances. Il est la victime et le témoin de l'action car il a vu un crime (un assassinat) se dérouler sous ses yeux, il n'a alors pas pu voir le tueur mais était sur le balcon, dans le champ de vision de l'assassin qui lui l'a bien vu et décide d'éliminer ce témoin gênant. [...]
[...] Il y a également le fait que Daniel mette du temps à se faire accepter parmi les autres avec ses lunettes de soleil et doit faire face aux insultes et aux moqueries, c'est une leçon de vie, pour savoir garder la tête haute dans différentes circonstances et ainsi être plus fort. Cette une épreuve pour Daniel, qui fait face, courageusement, malgré les obstacles qui s'imposent. * J'ai relevé un passage du livre qui m'a particulièrement plu: Il avait tenu à accompagner sa mère jusqu'à la porte. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture