[...] PARTIE II
Raskolnikov se réveille chez lui au milieu de la nuit. Il efface toute trace de sang et cache son butin.
Le lendemain, sa servante lui présente une convocation au commissariat. Là-bas ses craintes sont apaisées : on lui reproche de ne pas avoir payé sa logeuse.
Mais il entend deux hommes discuter du meurtre de l'usurière. A ces mots, Raskolnikov défaille. Quand il reprend conscience, la commissaire Nicodème Fomitch et le lieutenant « La Poudre » l'interrogent : il avoue être sorti la veille à l'heure du crime.
Une fois seul, Raskolnikov décide de cacher les objets sous une pierre derrière le mur d'un atelier désaffecté. Soudain, le meurtrier réalise l'absurdité et l'horreur de son crime. Il erre dans les rues de la ville et rejoint, à demi-conscient, l'appartement de Razoumikhine. Ce dernier lui offre un emploi de traducteur. Dans un état proche de la démence, Raskolnikov refuse et disparaît. Il rentre chez lui et perd connaissance (...)
[...] La vieille examine le leurre quand il la tue à coups de hache. Il s'empare de sa bourse et de quelques objets. Soudain un bruit lui parvient : Elisabeth, rentrée plus tôt, est tuée à son tour. Mais bientôt des clients se présentent à l'appartement. Alertés par le silence des deux femmes, les clients partent chercher des secours. Le meurtrier se cache dans un appartement où des peintres viennent de partir, avant de prendre la fuite. Partie II Raskolnikov se réveille chez lui au milieu de la nuit. [...]
[...] Fedor Dostoïevski, Crime et châtiment Roman Partie I Saint-Pétersbourg. Un soir de juillet un étudiant, Raskolnikov, quitte son appartement avec précaution. Le jeune homme qui semble préparer quelque mystérieux dessein veille à ne pas se faire remarquer. Il répète, observe et calcule : 730 pas le séparent de l'appartement de la vieille prêteuse sur gages, Hélène Ivanovna. L'usurière lui réclame le paiement de son ancien gage. Il observe attentivement les lieux. Quand il regagne la rue, le jeune homme est saisi de nausées. [...]
[...] Mais Razoumikhine ne saurait croire à sa culpabilité. Selon lui le meurtrier a dû se cacher dans l'appartement pendant l'absence des peintres. Au même instant Loujine se présente. Les trois hommes discutent à nouveau du meurtre. Raskolnikov ne tient plus : il somme les trois hommes de le laisser seul. Zossimov et Razoumikhine commentent l'étrange attitude du malade à l'évocation de l'assassinat. Une fois seul, Raskolnikov décide d'en finir : dans un cabaret il rencontre Zamiotov, le secrétaire du commissariat. [...]
[...] Svidrigaïlov passe la soirée à errer dans les rues de la ville. Au petit matin il se suicide devant une caserne de pompier. Raskolnikov présente ses adieux à sa mère et à sa sœur. Il rencontre une dernière fois Sonia avant de se présenter au commissariat. On lui apprend le suicide de Svidrigaïlov. Il finit par avouer son crime. Epilogue Sibérie mois plus tard. Raskolnikov est condamné à 8 ans de travaux forcés. Sa mère est décédée quelques mois après son arrestation. [...]
[...] Le juge d'instruction se présente chez Raskolnikov : Porphyre, en dépit des aveux de Nicolas, est convaincu de la culpabilité de Raskolnikov. Il l'enjoint de confesser son crime. Mais Raskolnikov nie toute responsabilité dans cette affaire. De son coté, Svidrigaïlov rejoint Dounia. Il l'emmène dans son appartement. Il lui révèle le crime sordide de son frère. Svidrigaïlov se livre à un odieux chantage : si elle s'offre à lui, il s'engage à garder le silence. Mais la jeune femme se révolte. Elle le menace d'un révolver avant de prendre la fuite. [...]
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