Dom Juan ou le Festin de pierre, Molière, Sganarelle, Dom Juan, valeur morale
Dom Juan a un caractère infidèle, il est un séducteur et un profanateur. Il vit en compagnie de son valet Sganarelle en Sicile, et se plait à séduire une multitude de jeunes filles, peu importe leur provenance sociale. Ce qui l'intéresse dans le jeu amoureux est uniquement la conquête des demoiselles, après les avoir possédées, il les laisse tomber sans remords.
[...] Critique personnelle: Cette pièce est une des trois grandes pièces de Molière qui critique la société de son époque. En apparence, c'est Don Juan qui est l'objet des plaisanteries de Molière, mais quand on analyse la pièce, on s'aperçoit que Molière utilise Dom Juan et Sganarelle, qui incarne les mœurs de son époque, pour critiquer la société. Dom Juan n'est en réalité qu'une personne qui cherche à vivre sa liberté, et qui remet en cause les moeurs et les façons de vivre de son temps. [...]
[...] Dom Juan ou le festin de pierre Résumé de l'oeuvre: Dom Juan a un caractère infidèle, il est un séducteur et un profanateur. Il vit en compagnie de son valet Sganarelle en Sicile, et se plait à séduire une multitude de jeunes filles, peu importe leur provenance sociale. Ce qui l'intéresse dans le jeu amoureux est uniquement la conquête des demoiselles, après les avoir possédées, il les laisse tomber sans remords. Ainsi, il laisse tomber donne Elvire après l'avoir sortie d'un couvent et après l'avoir mariée. [...]
[...] Dom Juan et Sganarelle se querellent souvent sur la valeur morale de certaines actions que fait Dom Juan et qui sont perçues comme des vices par la société, mais c'est toujours Dom Juan qui remporte le dessus grâce à ses argumentations structurées et convaincantes, au contraire les argumentations de sganarelle sont souvent dépourvues de sens et mal structurées. A travers cela, l'on peut reconnaitre la position de Molière par rapport au problème qu'il évoque. La critique que Molière fait de l'église est surtout reconnaissable dans la scène du mendiant, c'est une critique si acerbe et directe que cela m'étonne que cette pièce n'est pas fait objet de censure. En définitive j'ai bien aimé ce livre, il est distrayant, drôle et prête à réfléchir. [...]
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