(...) Après son opération, Jacques, qui a surpris la conversation de ses hôtes, a demandé l'hospitalité au chirurgien qui accepta de lui offrir une pension. Pendant sa convalescence, alors qu'il marchait dans la campagne, Jacques entendit les gémissements d'une femme. La pauvre se lamentait, à ses pieds une cruche d'huile cassée, de sa ruine et de son malheur. Le bon Jacques la prit en pitié et lui offrit ses derniers deniers.
Le lendemain, un inconnu vint s'enquérir du malade. Il fut emmené dans un mystérieux château. Là, il fut accueilli par M. Desglands. Celui-ci, qui a entendu l'acte de commisération dont il a fait preuve envers la femme à la cruche, qui n'était autre que le commissaire de l'intendant du château, a demandé à rencontrer le bienfaiteur. Pendant son séjour, Jacques est veillé par Denise dont il s'est épris (...)
[...] Après bien des déconvenues, elle finit par lui céder. Le Marquis insistait pour que sa compagne quitta sa solitude et s'ouvrit aux mondanités. Délaissée par son amant, Mme de Pommeraye feignit de ne plus aimer le Marquis afin qu'il avoua ses sentiments. Elle réussit à lui extorquer des aveux : lui non plus ne l'aimait plus. Le Marquis lui promit néanmoins son amitié. Meurtrie, la veuve préparait sa vengeance : elle convoqua une prostituée qui, sur ses ordres, feignit d'être une jeune dévote inaccessible. [...]
[...] Pour illustrer son propos Jacques lui propose de raconter l'histoire de ses amours . mais il est sans cesse interrompu : par les vicissitudes du voyage, des rencontres impromptues, des accidents, et par les digressions d'un auteur-narrateur soucieux de faire languir son lecteur. Un jour qu'il a été gravement blessé au genou sur un champ de bataille, Jacques fut recueilli et soigné par une modeste famille. Des chirurgiens furent sollicités. Ceux-ci échangèrent leur diagnostic contre de nombreuses bouteilles de vin. [...]
[...] Quand il apprit que le chevalier était l'amant de la jeune femme, le maitre proposa de tendre un piège cette dernière, en se glissant dans sa chambre et en feignant d'être le chevalier. Cependant, une fois dans la chambre d'Agathe, il fut surpris, sur dénonciation du chevalier, par la famille, qui fit constater l'adultère. Pour échapper au procès, il fut contraint de reconnaitre l'enfant que porte la jeune Agathe et qui n'est point le sien mais celui du traitre. C'est cet enfant que le maître rejoint aujourd'hui. A la porte du nourricier, le maître tombe nez à nez avec le Chevalier Saint Ouin, venu visiter son fils naturel. [...]
[...] Le bon Jacques la prit en pitié et lui offrit ses derniers deniers. Le lendemain, un inconnu vint s'enquérir du malade. Il fut emmené dans un mystérieux château. Là, il fut accueilli par M. Desglands. Celui-ci, qui a entendu l'acte de commisération dont il a fait preuve envers la femme à la cruche, qui n'était autre que le commissaire de l'intendant du château, a demandé à rencontrer le bienfaiteur. Pendant son séjour, Jacques est veillé par Denise dont il s'est épris . [...]
[...] mais écoutez plutôt les suivantes. Après s'être fait opéré du genou, Jacques est soigné par Denise. Le jeune homme lui saisit la main et lui baise, dévoilant ainsi ses sentiments . Après le meurtre de Saint Ouin et la fuite de son maitre, Jacques se languit dans son cachot, quand il est délivré par 12 brigands. Aussitôt ils rejoignent le château de M. Desglands qu'ils souhaitent piller. Jacques les en empêche. Là, il retrouve son Maitre et Denise qu'il épouse. [...]
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