Résumé de Jacques le fataliste et son maître (Diderot). Résumé offrant des éléments précis sur les événements essentiels de l'ouvrage.
[...] Melle Agathe y croit, et ne se doute de rien. Le chevalier fou amoureux de Melle Agathe et cette dernière folle amoureuse du chevalier, il la rencontre pratiquement tous les soirs, après que les parents de la jeune fille soient couchés. (Ils font l'amour.) Le maître taciturne devient impatient. Le chevalier lui donne donc les clés de la maison de Melle Agathe pour qu'il aille la visiter. Il lui passe son armure de chevalier, pour que la demoiselle croit avoir affaire à son amant. [...]
[...] Il lui donne son sac de louis d'or (acte courageux, si on peut dire). Le seigneur du château, un certain Desglands, l'appelle. Il part donc de chez le chirurgien pour aller vivre dans un château. C'est grâce à cet acte de bravoure, qu'il est introduit (la femme désespérée est la commissionnaire de l'intendant et des domestiques) Il y fait la rencontre de Denise, une jeune femme ravissante. Pendant ce temps, de son côté, le maître de Jacques est lui aussi amoureux d'une ravissante personne nommée Agathe. [...]
[...] S'ils ont de l'esprit, ils feront comme moi ; s'ils sont sots, ce que je leur apprendrais ne les rendrait que plus sots On remarque, et ceci dans tout le texte, que c'est Diderot qui est derrière chaque personnage : un villageois ne parle pas comme cela, ils ont tous le même langage : celui de l'auteur). Puis, Diderot ne peut s'empêcher de critiquer les philosophes de son siècle notamment Voltaire Ne manquez pas, à tort et à travers, dans toute occasion, de vous déchaîner contre les philosophes, criez que Voltaire est l'Antéchrist page 166) ; en finissant par critiquer la société : lecture d'un passage : page 260-261. [...]
[...] Le maître s'enfuit. La police arrive immédiatement, etJacques c'est Jacques arrêtent. Ainsi, illeest mis en prison. reste auqu'ils château. Desglands remercie et le privilégie. Il y retrouve son maître ainsi que la belle Mais Jacques est libéré avec une douzaine brigands ils se trouvent la troupe de Mandrin Denise. La passion de Jacques, qui n'avaitdecessé de laetregarder, s'accrutenrôlés à un telparpoint, que, n'y pouvant (envahisseurs qui libèrent les prisonniers et qui les utilisent pour piller Les Mandrins se dirigent vers le plus résister, il se précipita sur la main de Denise et la baisa page 328. [...]
[...] De ce même fait, il dénonce le manque de liberté, en citant la peine de mort (page 78). Enfin, il donne une philosophie de l'égalité, en dénonçant les avantages des plus hauts placés (exemple page 134 : la femme du chirurgien lui demande s'il ne peut pas demander à Desglands que son mari soit chirurgien du château) et dénonce la pauvreté par le biais de l'apprentissage d'usage (Jacques s'entend dire, par le villageois qui l'a recueilli contre son gré ceci : C'est qu'on ne m'a rien appris, et que je n'en suis pas plus ignorant. [...]
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