La scène se déroule en janvier 1536 à Florence, en Italie. La ville a depuis peu signé un accord de paix avec l'empereur d'Allemagne, Charles Quint. Avec la complicité du Pape, ce dernier a remis le pouvoir entre les mains de la famille de Médicis et tout particulièrement entre les mains du jeune Duc Alexandre de Médicis. Le jeune homme, régnant en tyran sur la ville, mène une vie de débauche (...)
[...] Révolté, Pierre jure de se venger. Scène III Alors que Lorenzo donne rendez-vous à Scoronconcolo le soir même dans sa chambre à minuit précises, le jeune homme semble prit de remords. A-t-il la force suffisante pour arriver à tuer Alexandre ? Est-ce nécessaire d'aller au bout de ce dessein qui a ruiné sa vie entière ? Scène IV Chez le marquis de Cibo, le cardinal Malaspina Cibo menace sa belle-sœur de révéler au marquis sa relation avec le duc Alexandre. [...]
[...] Cette vie de débauche ne peut faire bon ménage avec une certaine stabilité politique. Il déplore la décadence régnant dans la cité et critique ouvertement le cruel Alexandre de Médicis. La scène se termine sur Alexandre de Médicis déguisé en religieuse sortant du bal avec son fidèle Salviati. Ce dernier, tentant d'importuner Louise Strozzi se voit éconduit. Scène III Cette scène se déroule chez le marquis Laurent de Cibo. Ce dernier est sur le point de se rendre sur ses terres à la campagne pour la semaine. [...]
[...] Profitant de la situation, Lorenzo fait mine d'aller chercher sa guitare. Alors qu'il est sur le point de quitter la pièce, il s'empare de la côte de mailles et part la jeter dans un puits. Or, Giomo, l'un es plus fidèles conseiller du duc a vu la scène. Toutefois, malgré les soupçons de Giomo, Alexandre ne peut imaginer Lorenzo coupable de la disparition de sa côte. Scène VII Salviati couvert de sang et soutenu par deux hommes se traine devant chez Alexandre. [...]
[...] Scène V Lorenzo préparant sa chambre pour la venue d'Alexandre le soir même voit arriver sa tante Catherine. Cette dernière lui annonce que Marie est tombée malade ne pouvant supporter les avances du duc. Alors que Lorenzo interroge Catherine sur les avances du duc, le jeune homme se rend compte qu'il ne peut pervertir sa jeune et vertueuse tante. Il décide alors de se retrouver seul, pleurant le décès de la jeune Louise Strozzi et le sort que pourrait connaître Catherine. [...]
[...] Arrive alors la marquise de Cibo. En pleine confession, la marquise avoue avoir reçu une lettre d'Alexandre mais précise l'avoir éconduit. Le cardinal pousse alors sa belle-sœur à se rapprocher du duc et de le prendre pour amant. Ainsi, ce dernier pourrait profiter de l'influence de la marquise de Cibo sur Alexandre de Médicis pour pouvoir diriger et orienter la vie politique de Florence. Scène IV Au palais des Solderini se trouvent Lorenzo, Marie Solderini sa mère et Catherine sa tante. [...]
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