Les oeuvres de Dante sont toutes marquées par la situation politique de l'Italie. Dante est un florentin particulièrement engagé dans la vie politique de sa cité. Il fait partie des guelfes, qui soutenaient le pape face aux gibelins qui, eux, appuyaient les empereurs d'Allemagne. Le parti des guelfes est scindé en deux : les Blancs et les Noirs. Les premiers, dont fait partie Dante, souhaitent une plus grande autonomie de la ville et la fin de la politique d'ingérence du pape Boniface VIII. Les seconds soutiennent le pape et sa politique.
Avant de s'engager fermement en politique, Dante se lance dans la poésie avec la Vita Nuova, qui est un mélange de vers et de pose et qui loue la gloire de Béatrice, son véritable amour. Il rencontre Béatrice à neuf ans et dès-lors il ne cessera jamais de l'aimer. Dans cet ouvrage, il parle de sa passion et de son désespoir lors de la mort de cette dernière. Tout comme la politique, Béatrice est une figure emblématique de l'oeuvre de Dante ; elle apparaît dans ses ouvrages et particulièrement dans La Divine comédie.
En 1301, alors que Dante se rend à Rome pour tenter une conciliation, un représentant du pape Charles de Valois s'empare de Florence avec l'aide des Noirs. Des procès débutent et Dante apprend qu'il est condamné au bucher. Il s'exile donc avec d'autres guelfes blancs et ne reviendra jamais dans sa ville natale.
Il tente dans les premiers temps de son exil de revenir à Florence en voulant participer au siège de la ville auprès de gibelins et des guelfes blancs. Mais il y renonce et commence son voyage dans le Nord de l'Italie et en Europe.
Cet exil permet à Dante d'être un poète particulièrement prolifique comme en témoigne ses cinq ouvrages principaux.
[...] Suite à son exil, Dante s'attaque tout d'abord à De vulgari eloquentia. Ce traité a pour but d'exposer l'origine des langues et plus particulièrement d'analyser les différents dialectes italiens. Il écrit deux livres et abandonne cet ouvrage au profit d'Il Convivio (...)
[...] Des procès débutent et Dante apprend qu'il est condamné au bucher. Il s'exile donc avec d'autres guelfes blancs et ne reviendra jamais dans sa ville natale. Il tente dans les premiers temps de son exil de revenir à Florence en voulant participer au siège de la ville auprès de gibelins et des guelfes blancs. Mais il y renonce et commence son voyage dans le Nord de l'Italie et en Europe. Cet exil permet à Dante d'être un poète particulièrement prolifique comme en témoigne ses cinq ouvrages principaux. [...]
[...] Dans le quatrième cercle, on trouve les avares et les prodigues qui roulent une pierre continuellement autour d'un cercle. Le cinquième cercle, retient les colériques, les rancuniers et les mélancoliques au sein du Stynx que Virgile et Dante traversent pour rejoindre la ville de Dité et le sixième cercle. Ce dernier est celui des hérétiques et des épicuriens bloqués dans des tombeaux flambants. Le septième cercle, celui des violents, est divisé en trois girons : les violents envers leurs prochains, les suicidés ou dissipateurs et les blasphémateurs. [...]
[...] Les premiers, dont fait partie Dante, souhaitent une plus grande autonomie de la ville et la fin de la politique d'ingérence du pape Boniface VIII. Les seconds soutiennent le pape et sa politique. Avant de s'engager fermement en politique, Dante se lance dans la poésie avec la Vita Nuova, qui est un mélange de vers et de pose et qui loue la gloire de Béatrice, son véritable amour. Il rencontre Béatrice à neuf ans et dès-lors il ne cessera jamais de l'aimer. [...]
[...] Dante se lance également dans la poésie. Il compose cinquante-quatre pièces réunies dans Rimes. Ces poèmes sont des expérimentations poétiques qui s'inspirent aussi bien de la poésie classique que des chansons de troubadours. Enfin arrive la Comedia, qu'il écrivit dès 1306 et poursuivit jusqu'à sa mort en 1321. Ce récit à la première personne est un voyage initiatique. Guidé par Virgile, il descend d'abord à travers les neuf cercles de l'enfer, gravit ensuite les sept gradins de la montagne du purgatoire jusqu'au paradis terrestre et enfin s'élève dans les neuf sphères concentriques du paradis où il retrouve Béatrice. [...]
[...] Elle commence par l'errance de Dante dans une forêt sombre qui symbolise le péché, il a perdu la route droite de la vertu. Envoyé par Béatrice, allégorie de la raison, Virgile vient en aide à Dante et le guide à travers les neuf cercles de l'enfer afin de parvenir à la montagne du purgatoire puis au paradis où l'attend Béatrice. L'enfer dantesque est composé de cercles concentriques qui correspondent chacun à un péché, le cercle le plus profond étant occupé par Lucifer. [...]
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