Le comportement de Raskolnikov dans ce roman peut être trouvé dans d'autres œuvres de Dostoïevski, comme les Carnets du sous-sol et les Frères Karamazov (son comportement ressemble beaucoup à celui d'Ivan Karamazov). Il se fait souffrir en tuant la prêteuse sur gage et en vivant dans la déchéance, alors qu'il pourrait trouver un bon métier. Razoumikhine était dans la même situation que Raskolnikov et vivait beaucoup mieux, et quand Razoumikhine lui proposa de lui trouver un emploi, Raskolnikov refusa. Il convainquit la police qu'il était le meurtrier, alors qu'elle n'avait aucune preuve. Il essaye en permanence d'atteindre et de dépasser les limites de ce qu'il peut ou ne peut pas faire (tout au long du récit, il est constamment en train de mesurer sa propre peur, et de la dépasser), et sa dépravation (en référence à son irrationalité et sa paranoïa) est souvent interprétée comme une expression de sa conscience transcendante et un rejet de la rationnalité et de la raison. C'est un sujet de réflexion fréquent de l'existentialisme.
[...] Au réveil deux personnes viennent taper chez lui. Il se voit déjà arrêté et prêt à se livrer reçoit une lettre de la station de police lui demandant de se rendre le plus rapidement possible. Cependant, en arrivant là-bas et en s'imaginant déjà avouant son crime il se rend alors compte qu'il n'a pas été convoqué pour cela mais bien plutôt pour ses loyers impayés. Cependant, il entend alors au commissariat parler de cette affaire de meurtre et essaye alors de quitter le bureau de police mais s'évanouit d ‘émotion. [...]
[...] Il se rend alors au commissariat conformément à sa volonté et se rend. Épilogue Lors de sa détention en Sibérie, ses amis ont tout fait pour l'aider, le défendre et tenter de raccourcir sa peine. Mais sa mère devient folle, perd la raison et sa fille ne sait plus quoi faire. De plus malgré la gentillesse et les efforts de Sonia qui l'a suivi jusqu'en Sibérie, ce dernier ne se montre pas aimable envers elle. Les autres prisonniers le déteste, et ce dernier tombe alors gravement malade. [...]
[...] Ce dernier après la mort de sa femme qui ne fut toujours pas élucidée, vient alors à st Petersbourg pour tenter de rompre l'union entre Dounia et Louijine. Cet homme présente alors à Ras le fait que sa sœur gagne de l'argent grâce au testament de sa femme. A la suite de sa conversation, cet homme montre également à Ras que sa sœur pourra gagner une forte somme sans autre obligation que cette de refuser le mariage avec louisine. Fort de cela, Ras repart au Rendez-vous avec sa mère, sa sœur Razoumikhine. [...]
[...] Il rentre chez lui et s'évanouit encore une fois en se couchant. Chapitre III A son réveil, Razoumikhine a réussi à le trouver et est à son chevet avec un autre ami médecin. Ces deux derniers ont réglé tous les problèmes qu'avait Raskolnikov et tentent alors d'aller lui acheter des habits neufs avec l'argent envoyé par sa mère. Mais ce dernier s'inquiète de savoir si dans son délire d'où il vient de sortir grâce aux soins de son ami médecin il aurait pu ou non prononcer La chose ce meurtre. [...]
[...] Sonia tombe en effet malade, et il se rend alors compte du manque. Il se rend compte de son amour pour cette jeune fille qui est le seul but de sa vie, le renouveau et le nouveau départ pour un horizon meilleur. Axes principaux d'étude: - transcendance du héros, rejet de la morale commune et volonté de sauver l'humanité Le comportement de Raskolnikov dans ce roman peut être trouvé dans d'autres œuvres de Dostoïevski, comme les Carnets du sous-sol et les Frères Karamazov (son comportement ressemble beaucoup à celui d'Ivan Karamazov). [...]
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