Analyse de la Pièce de théâtre de Corneille, La Place Royale. Ce résumé traite chaque acte, et chaque scène de la pièce en résumant les actions et paroles des personnages.
[...] Phylis, survenant, entreprend de calmer la colère de Doraste contre Cléandre, en lui apprenant que celui-ci s'est épris d'elle en l'enlevant et qu'elle va l'épouser, si leur père y consent (scène 5). Cléandre sort précisément de chez les parents de Phylis avec le consentement paternel. Il demande à Doraste de lui pardonner et de voir désormais en lui son beau-frère, ce que le jeune homme accepte d'autant plus volontiers qu'il lui sait gré de l'avoir détaché d'Angélique (scène 6). Celle-ci arrive avec Alidor. Phylis lui apprend comment Cléandre, l'ayant enlevée par méprise, est tombe amoureux d'elle alors que jusque-là c'est elle, Angélique, qu'il aimait en secret. [...]
[...] Sa volonté reprend le dessus (scène cinq) lorsque, soudain angélique surgit. Pensant qu'elle échappait à ses ravisseurs, il lui dit qu'il l'a fait enlever par ses gens et que c'est par prudence qu'il ne l'a pas accompagnée. La jeune fille, se d'autant qu'une autre a été enlevée à sa place, lui reproche amèrement son attitude et fustige la proposition qui lui a fait finalement de repousser à plus tard l'enlèvement promis (scène six). Tandis qu'est leader s'éclipse et qu'Angélique s'élance pour le suivre, Doraste, qui survient, s'étonne de la voir partir sans lui. [...]
[...] Les deux amants se séparent et, tandis qu'Angélique, tout en sentir aux gens sur la folie de son acte, laisse paraître son amour pour Alidor, celui-ci se réjouit de la voir si bien trompé pour aider son ami Cléandre (scène six). Phylis, qui le voit sortir visiblement heureux de chez Angélique, craint que son frère ne fasse les frais de cette visite (scène sept). Préoccupée par cette nouvelle situation, elle éconduit Lysis qui vient à nouveau se présenter à elles (scène huit). [...]
[...] Angélique s'avançant dans l'obscurité, il lui remet sa promesse de mariage qu'elle a réclamé, mais qu'il en a fait en demander à Cléandre de rédiger pour son propre compte. La jeune fille la prends sans la lire et rentre chez elle pour la ranger (scène trois). Phylis, qu'il avait suivi, se rend compte de ce qui se passe. Tandis qu'elle se désole de n'avoir pas su prévenir la déconvenue de son frère, Alidor, croyant dans l'obscurité que c'est Angélique, la fait enlever par Cléandre, qu'il emmène en l'empêchant de crier (scène quatre). [...]
[...] Cléandre se proposant pour être cet autre, Alidor se déclare prêt à tout faire pour la lui mettre dans les bras (scène 4). ACTE II Polymas, le domestique d'Alidor, dévoile à Angélique une lettre que son maître l'a chargé de porter à une certaine Clarine. Angélique y découvre avec douleur que son amant la trompe (scène 1). Lorsque Alidor paraît, Angélique l'accable de reproches en lui lisant la lettre qu'il a écrite pour Clarine et dans laquelle il fait sur elle-même des remarques blessantes. Alidor, loin de s'en excuser, excite en persiflant le ressentiment d'Angélique (scène 2). [...]
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