Les Contemplations, Victor Hugo, La fête chez Thérèse, théâtre romantique, drame romantique, spectacle en plein air, fêtes galantes
Victor Hugo (1802 – 1885) est un écrivain représentatif du XIXe siècle non seulement par la diversité de ses oeuvres, mais également par sa place de théoricien du théâtre romantique. Chaque étape de sa vie est marquée par son engagement, son enthousiasme; pour des idées littéraires, politiques (avec son discours à L'assemblée législative par ex), et sociales neuves. Il écrivit Les
Châtiments (1853) dans lequel le poste est engagé contre Napoléon III. Dès 1827, dans la préface de Cromwell, il va définir une nouvelle forme théâtrale : le drame romantique. Victor écrivit les Contemplations en souvenir de sa fille Léopoldine. La première section du livre « Aurore » est consacré à la jeunesse. Victor s'y exprime le plus souvent à la première personne et y évoque son
expérience de la vie et de la poésie. La fête chez Thérèse fait apparaitre un spectacle en plein air qui, au fur et à mesure, disparait.
[...] Victor s'y exprime le plus souvent a la première personne et y évoque son expérience de la vie et de la poésie. La fête chez Thérèse fait apparaitre un spectacle en plein air qui, au fur et a mesure, disparait. Projet de lecture : Montrer que cet extrait du poème La fête chez Therese évoque l'enchantement des fêtes galantes du 18e siècle. Axe 1 : Un tableau plaisant Les vers 1 a 16 présentent 2 strophes d'alexandrins (un sizain, un dizain) en rimes plates. [...]
[...] Il y a présence du je lyrique avec des modalités affectives. L'hommage se fait par la comparaison les roses palissaient a cote de sa joue et son hyperbole laudatives Et, la voyant si belle, un paon faisait la roue Transition : La transition du poème en 1 distique (les v17/18) place le poète en observateur Moi j'écoutais, pensif, un profane couplet l'adjectif pensif l'orientant vers la rêverie tout comme l'ombre annonce la nuit. Axe L'effacement progressif La fete se termine - La fin du poème coïncide avec avec la tombée de la nuit - Avec l'irruption du passé simple v19 vint jusqu'au v25 s'en alla qui marque la brutalité d'une rupture - Les lumières disparaissaient, l'accent est mis sur l'obscurité: v19 Les flambeaux s'éteignirent v20 assombris v21 ténébreux v25 dans l'ombre Le champ lexical des ténèbres apparait donc. [...]
[...] Elles ont pour seul temps l'imparfait avec une valeur descriptive mais aussi durative comme si le poète conférait a l'événement une sorte d'éternité. L'éloge du moment - Hugo raconte sous la forme mi-narrative, mi-descriptive, une fête a la campagne, dans une tonalité de fêtes galantes. Nous avons ici le compte rendu d'une fête, ou plutôt d'un bal masqué inspiré de la comédie italienne et des spectacles populaires de la foire nouant son masque - La présence du narrateur est mise en évidence dans les vers de transition v17,18 avec la présence du pronom personnel moi «moi j'écoutais pensif, un profane couplet - Il s'exprime par les hyperboles: tout »3fois au v2, fort bonne et de part l'énumération les bois, le jour serein azur - Par le bien-être physique: le sens de la vue (v1 et et des couleurs l'azur violet du gout (v10) du toucher (v12) et de l'ouïe sont comblés, - même les dissonances sont divertissantes (V5,v8). [...]
[...] La fête chez Thérèse Victor Hugo (1802 1885) est un écrivain représentatif du XIXe siècle non seulement par la diversité de ses œuvres mais également par sa place de théoricien du théâtre romantique. Chaque étape de sa vie est marquée par son engagement, son enthousiasme; pour des idées littéraires, politiques(avec son discours a L'assemblée législative par et sociales neuves. Il écrivit Les Châtiments (1853) dans lequel le poste est engagé contre Napoléon III. Dès 1827, dans la préface de Cromwell, il va définir une nouvelle forme théâtrale : le drame romantique. Victor écrivit les Contemplations en souvenir de sa fille Léopoldine. [...]
[...] L'auteur est ici une personne contemplant une soirée joyeuse. - On peut penser que la fête extérieur, de jour, devient avec le crépuscule, une fête de l'âme a la fois langoureuse et mélancolique marqué par les incertitudes d'un réel qui n'est plus relaxant perceptible. La confusion généralisée est source d'angoisse et de douceur douloureuse - La vie intérieur apparait dans l'âme discours secrets regards de flemme coeur sens »v29 - Cette journée est une sorte de tremplin a la rêverie ou tout ce qu'il s'est passé auparavant, va se dissoudre - Il y a une confusion car le poète ne sait plus s'il est dans le réel troublé comme on l'est dans un songe Conclusion: V.Hugo pérennise ce bal masqué auquel il a assisté, il magnifie le souvenir d'un événement qui, lui même ressuscite un 18e siècle galant redécouvert par le 19e siècle. [...]
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