Candide est le personnage principal du roman. Il est considéré comme un batard, car il serait né de la soeur du baron et d'un homme du voisinage. Il vit donc dans ce château jusqu'au jour où il se fait expulser par le baron. Ce dernier l'aurait surpris entrain d'embrasser sa fille Cunégonde, pour laquelle il éprouve un amour très fort. Il est décrit dans le livre comme avoir l'esprit le plus simple, et les moeurs les plus douces (...)
[...] Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin. Cette phrase est la dernière phrase du roman prononcé par Candide. Elle conclue parfaitement le roman et la pensée voltairienne qui dit que le travail éloigne trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin. Voltaire fait indirectement référence à l'esprit en évoquant le jardin. Il faut cultiver son esprit, donc se cultiver soi même. VIII. Critique de l'œuvre. Le roman philosophique de candide m'a beaucoup plu pour plusieurs raisons. [...]
[...] Pour finir, Voltaire se moque du Pape et de ses soldats qui jettent les armes. Voltaire fait ici une opposition très importante : l'opposition entre l'optimisme et le pessimisme. La leçon que l'on peut tirer de ce livre est peut-être que ni le pessimisme de Martin, ni l'optimisme de Pangloss ne mènent à quoi que ce soit. La fin de ce livre nous dit qu'il vaut mieux nous retirer dans notre jardin et trouver notre propre harmonie sans s'occuper de toutes ces philosophies. Selon Voltaire, il faut donc cultiver son esprit. [...]
[...] Recueillis par un bon anabaptiste, ils arrivent à Lisbonne au moment du terrible tremblement de terre. Une parole imprudente les fait condamner par l'Inquisition. Pangloss est pendu et Candide sera fessé. Candide retrouve ensuite Cunégonde grâce à la vieille et s'enfuit en Amérique. Il doit malheureusement abandonner Cunégonde et se réfugie auprès des Jésuites du Paraguay. Il échappe de justesse au sauvage Oreillons et séjourne au pays d'Eldorado et rejoins ensuite Surinam où il rencontre un pauvre esclave, Martin. À Constantinople, il libère Pangloss miraculeusement sauvé. [...]
[...] Thématique de l'œuvre. Plusieurs thèmes sont évoqués dans le roman de Candide. Premièrement le thème du voyage qui est très présent à travers le périple de Candide tout au long du roman. Il est amené à voyager à travers le monde et passera par plusieurs ville comme Cadix, Lisbonne, Buenos-Aires, Venise, Bordeaux, Constantinople, Eldorado etc. Il y a ensuite le thème de l'amour qui est ici dans un registre lyrique et pathétique. Un amour impossible entre Cunégonde et Candide, qui va pousser le personnage principal Candide à se battre et parcourir le monde. [...]
[...] Cunégonde est la fille du baron Thunder-ten-tronckh, cousine et amoureuse de Candide. Elle sera à l' origine de l'expulsion de Candide. Elle parcourra le monde tout comme Candide, et elle sera amenée à le retrouver, puis à le reperdre. Elle le retrouvera ensuite à la fin du roman, pour qu'ils se marient. Mais sa beauté qui a séduit Candide a disparu. Pangloss est un professeur de métaphysico-théologo-cosmolonigologie et précepteur de Candide et de Cunégonde. Il sera dans la suite du roman atteint d'une très grave maladie et sera pendu. [...]
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